[Asmo] Chasse à l'homme

Un homme, encore en culotte de nuit, les cheveux ébouriffés, râlant et maugréant, cloute une drôle d'affiche au titre provocateur. Une femme, un simple vêtement de nuit qui dévoile plus qu'il ne suggère, l'imite. Un jeune homme observe les alentours, suspicieux. Jetant des regards ça et là il placarde la feuille à son tour.
Mêmes heures. Mêmes scènes.
Pandaemonium. Altgard. Morheim.

C'est un matin comme les autres. Ce genre de matin où vous vous demandez si vous n'allez pas rester toute la journée à flâner. Matin tranquille, journée tranquille, soirée tranquille. Votre regard épouse les formes généreuses de l'asmodéenne ou le ventripotent tenancier. Ils vous ignorent et retournent finir leur nuit. La brise matinale vous rappelle qu'il est encore tôt. Vous frissonnez, peut-être. L'affiche est soumise à votre seule contemplation.



[HRP]
Les Réminiscences de la Tour vous convient à cette chasse à l'homme !
Vous devrez retrouver notre cher fugitif, Hokhmah, et le vaincre dans un duel. En terme de roleplay on considérera alors que vous avez réussi à en faire votre captif. Et oui... la prise n'a de valeur que vivante. Vous devrez ensuite nous le ramener.
Ce petit event est une amorce pour l'équivalent d'un petit scénario de jeu, le tout en roleplay via forum et in-game.
C'est bien sûr ouvert à tous les asmodéens.

Bonne chasse !

C’est une de ses journées creuses où n’étant pas franchement en activité, vous vous promenez solitaire dans la cour de la Forteresse. On pourrait croire que vous flânez, que vous errez au gré du temps qui coule. On pourrait même croire que vous êtes perdu.

Les gens vous regardent à peine, les Archons vous lancent des œillades soupçonneuses, les badauds vous ignorent. Pour autant, vous apercevez le Général Aegir en forte discussion avec Nina. L’un est rouge d’indignation, l’autre le nez baissé sur ses bottes. Le sujet parait houleux. De l’affaire, quelques mots s’échappent. Favyr n’est toujours pas rentré à la Forteresse.

Puis c’est au tour du négociant d’annoncer à corps et à cri les derniers prix, les ultimes promotions, les articles rares qui risquent de disparaitre dans la seconde.

La taverne est bondée, c’est l’heure de la pause. Bruits de choppes qui se heurtent, de rires gras un peu ivres, de voix qui portent, de fourchettes qui tintent. Vous vous en approchez tranquillement, sûr de glaner quelques informations. Et c’est là, à un détour de l’épicerie, entre les caisses et les tonneaux que vous la voyez. Petit bout de femme brune plantée devant le panneau d’affichage.

Instinctivement vous vous renfoncez dans un recoin, à l’abri de son regard. Elle vous tourne le dos, fixe un parchemin bruni, usé par le temps. Sans plus de manière, dans un geste rageur elle l’arrache violemment, se retourne, invective un pauvre hère venu s’enquérir des dernières annonces et court vers le transporteur. Sortant lentement de votre cachette, vous la suivez des yeux jusqu’au moment où elle disparait. Puis, aussi vite que le vent, vous filez vers les escaliers, survolez les marches, traversez la Grand Cour, longez le lieu de Culte du Très Haut et contournez les contreforts du bâtiment.
Là à l’arrière, appuyée contre l’abside, vous retrouvez Brumes. Concentrée sur l’allumage de sa pipe, elle ne vous accorde pas un regard. La flamme au dessus du fourneau, elle aspire dans le tuyau, faisant rougeoyer le tabac préalablement tassé. La fumée s’élève en deux ou trois nuages opaques, puis l’odeur si particulière des feuilles d’Hasia vous titillent les narines. Elle inspire avec délectation.

La Louve a pris l’affiche.

Alors, au travers des nuées se dissipant, vous voyez ses lèvres s’entrouvrirent en un sourire.

La jeune femme contempla l'affiche, un sourire s'arqua crescendo sur son visage, semblant figer son teint violacé dans une glace éternelle. D'une griffe manucurée elle décolla l'affiche puis la roula soigneusement.

-Hokhmah, ainsi on te nomme toi le nostalgique de la cité figée sous la glace qui noie son chagrin dans l'alcool...murmura t-elle suavement.

Songeuse la sorcière posa un regard interrogateur sur l'athlétique femme au teint d'albatre qui se trouvait silencieuse à ses côté, le lilas de son regard rencontra l'émeraude vif de Lunielle. Zarovna brisa le silence :

-Qu'en dis tu ma belle? tu chasse et je fais les soldes? Non?

L'assassine moulée dans son cuir sombre l'interrogea du regard, statue de marbre blanc gainée d'ombre, impassible.

-Ho pourquoi? l'homme bien que féru de légende est intéressant en soi, mais ses traqueurs le sont plus encore. Les réminiscences le chassent. Cela signifie qu'il doit en savoir suffisamment sur ces larbins des shédims pour nous piquer au vif. Trouvons le pour lui offrir l'asile ou simplement damner le pions aux "ombres d'hommes".

La Marchombre sembla dubitative, toisant la sorcière drapée dans son silence. Face à elle, la petite asmodienne trépignait. Lunielle consentit à donner un avis réfléchi.

- D'autres projets nous accaparent et je ne vois pas le lien avec la gnose, si ce n'est le savoir de ce daeva sur la cité figée. Néanmoins comme je sens poindre tes habituels caprices, nous allons voir si nous pouvons retrouver ce fugitif et le placer sous protection...s'il éclaire le chemin de la gnose, sinon, qu'il affronte son destin et rejoigne l'éther. J'informe les bellicistes et les Marchombres.

La sorcière livra un radieux sourire qui ne lézarda nullement la statue marmoréenne qui la toisait, il s'éteignit devant la fixité.

-Lulu tu devrais apprendre à savourer les plaisirs de la vie! Elle tapota l'affiche et repris sa marche, noyant Lunielle dans le flot des banalités.

Yndorden arrivait sur les belles paroles de Zarovna, amusé par l'humour ironique de la sorcière...

-" Que penses-tu de ce fugitif Za, encore une proie facile pour tes griffes acérée? Je pense que Lunielle a raison cependant... Cet Asmodéen chassé par les siens doit avoir beaucoup de choses a nous confier, de plus je n'aime pas le principe de cette violence et l'esprit de délation qu'elle engendre. Nous trouverons certainement une solution et la gnose nous enseignera une fois de plus le chemin a suivre. "

L'aède leur emboitait le pas, manifestement conscient que celui qui se cache au moment ou il parle doit être dans une bien mauvaise posture...

La forteresse de Morheim était en pleine effervescence lorsque Zarakiel fit irruption par le téléporteur. Une brève observation lui permis cependant d'en comprendre la raison : une flot d'Archons se déversait dans la cour depuis l'entrée principale. La rumeur de leur pas et le cliquetis de leur mailles et armures se transforma d'abord en écho puis en un vacarme assourdissant à mesure qu'ils se rapprochaient, rapières et autre estremaçons balotants tantôt contre leur flanc ou contre leur dos.
Bien qu'il se fichait éperdument de ce qui pouvait provoquer ce rassemblement, l'assassin se fondit à la foule de curieux pour observer la suite des évènements. L'un des soldats, sûrement un gradé car celui-ci arborait une armure plus travaillé et rutilante que les autres, déploya de grandes ailes pourpres vainées d'or et s'éleva sans que cela paraisse lui coûter le moindre effort. Il fut bientôt imité par ses subalternes et qui, une fois en l'air, se mirent en formation avant de passer au travers d'un portail éthéré. Zarakiel ne put s'empêcher de murmurer : "Les Abysses".
En vérité, tous les daevas présents étaient invité à rejoindre les troupes Asmodiennes à défendre la Grande Forteresse qui était, ses derniers temps, la proie régulière des attaques des Balaurs ou des troupes Elyséennes. Comme l'expliquait le héraut qui s'égosillait sur la place d'arme au milieu de la cour ; les forces Asmodiennes en faction dans les Abysses s'étaient retrouvées prise en tenaille, livrant bataille d'un côté contre les Balaurs et contre les Elyséens de l'autre. "Les Abysses, répéta Zarakiel, Un jour prochain mais pas maintenant."

Il se détourna du ballet des Archons pour se consacrer à sa priorité du moment : se trouver une nouvelle tenue. l'actuelle ayant été mise en lambeaux par Brumes. Il n'arrivait décidément pas à supporter le Général en second de sa nouvelle légion, La Réminiscence. Pour Zarakiel, il ne s'agissait que d'un ramassis d'imbéciles, menés par une espèce de gamine écervelée dont il avait déjà oublié le nom. Myna? Mira?...qu'importe! Sans parler de l'autre espèce de grand balourd de Vonsen ; sa force prodigieuse n'ayant d'égale que sa bêtise. Mais celle qu'il détestait le plus était la Spiritualiste. Aussi lorsque celle-ci émis l'idée de s'unir afin de capturer une personne qui détiendrait un élément crucial qui pourrait expliquer la raison de leur "vision commune", Zarakiel ne put s'empêcher d'éclater de rire. Comment cette bande d'idiots allaient-ils bien pouvoir retrouver cette personne en étant dirigé par une stupide gamine? Et puis ne valait-il pas mieux agir dans l'ombre comme il l'avait toujours fait? Que feraient-ils lorsque Hokhmah apprendrait que sa tête a été mise à prix si ce n'est se terrer quelque part, rendant sa capture encore plus difficile, voire impossible? La confrontation avec Brumes dont l'avis divergeait complètement ne put être évitée et le résultat de leur duel se solda par la destruction de son justaucorps de cuir.
Il était vrai que la tenue de la Spiritualiste connu le même sort, laissant entrevoir une partie de ses charmes. Cela avait laissé l'assassin parfaitement indifférent : ce qui l'excitait c'était le sang. Son seul regret fut de ne pas en voir assez mais il se promis que tôt ou tard, il la "saignerait" jusqu'à la dernière goutte...

Tout absorbé par ses rêveries et son désir de vengeance, Il ne s'était pas aperçut qu'il était déjà devant l'échoppe des négociants shugos. Il jeta ainsi son dévolu sur un nouvel ensemble de cuir, plus saillant et qui avait l'air de meilleure qualité que sa tenue précédente. Il se fit également la promesse de revenir s'occuper du marchant si par malheur la qualité n'était pas à la hauteur de la somme dépensée. Heureusement que son précédent contrat lui avait beaucoup rapporté. Heureusement aussi que son commanditaire avait les poches pleines de kinahs lorsque la dague de l'assassin lui avait sectionné la carotide. Curieuse idée d'avoir voulu revoir le montant de la récompense à la baisse...

Une fois qu'il se fut changé, Zarakiel manqua de trébucher sur un mendiant au moment où il sortait de la boutique. Alors que le pauvre bougre se mit en position de défense, s'attendant à recevoir une raclée, Zarakiel se contenta de lui laisser son ancienne tenue ainsi qu'une petite bourse pleine de kinahs. Le mendiant n'en crut pas ses yeux tant il n'avait jamais été en possession d'autant d'argent et voulu remercier son bienfaiteur mais celui-ci avait déjà disparu.

Cet endroit était dénué de toute forme de distraction quelle qu'elle fut : pas de taverne, pas de danseuse ni de maison-close. La seule forme de divertissement qu'aurait pu se permettre notre assassin fut d'égorger un badaud au hasard. Cependant, vu la quantité d'Archons qui patrouillaient, mieux valait se garder de ce type de fantaisie...du moins pour le moment.

Quelque chose finit tout de même par attirer son attention. ses yeux s'arrondirent à mesure qu'il réalisait que Brumes et les autres avaient mis leur plan à exécution : à deux pas de lui, un homme était en train de placarder une affiche sur l'un des murs de la forteresse. Il s'agissait d'un avis de recherche où il était question d'une forte récompense à quiconque livrerait le dénommé Hokhmah à la légion de la Funeste Réminiscence de la Tour.
"Cette espèce de vieille catin putride! Je lui avais pourtant bien dit que mieux valait agir dans l'ombre et garder cela pour nous et le retrouver par nos propres moyens! Ameuter tout Asmodae, c'est ça ton plan pauvre sotte!" Il cracha sur le sol glacé de fureur. Il fallait qu'il passe ses nerfs, il sentait l'adrénaline parcourir ses veines...

Zarakiel interpella celui qui avait posé l'affiche alors qu'il venait juste de terminer sa tâche. ce dernier se retourna et reconnu son supérieur. Il n'eut pas le temps de réaliser ce qui lui arrivait que l'assassin lui ficha sa dague dans le ventre. "Pour...quoi...Centurion Zarak..., croassa-t-il tandis que des bulles de sang remontaient sa gorge et se crevaient aux commissures de ses lèvres. Zarakiel approcha sa bouche de l'une des oreilles du malheureux "Aucune. Mauvais endroit au mauvais moment. Remercie Brumes lorsqu'elle te rejoindra dans l'autre-monde."

Un garde avait vu l'homme s'effondrer et accouru. "Tout va bien, mon ami a un peu forcé sur le thé au Na. Je me charge de le ramener". Il se le mit sur l'épaule et se retourna rapidement, avant que le garde n'ait pu remarquer la moindre trace de sang...qui ne tarda pas à dégouliner le long de la nouvelle tunique de cuir de l'assassin de la Réminiscence. Zarakiel se débarrassa du corps dans un recoin.
Alors qu'il se dirigeait d'un pas impérieux vers le téléporteur, il considéra un instant les tâches de sang qui avait maculé sa nouvelle tunique puis pensa pensa très fort "Brumes, je te remercierai personnellement pour tout ceci...Hokhmah, tu es à moi!"
Puis il disparut à travers le portail, les yeux rougissants, animés par le désir de combattre.

Trop de paperasses, et pas assez d’action. Qui l’eut cru, franchement ? Autorisations, comptes-rendus, rapports…Carmin songeait sérieusement à engager quelqu’un expressément pour s’occuper de cela. Quoiqu’au fond, elle ne se leurrait pas. Elle ne ferait jamais assez confiance à quelqu’un d’autres qu’à elle-même pour gérer tout ça. Trop de responsabilités, trop de secrets. Trop de possibilités d’être trahis. Cette pensée la rendit maussade. Les récents évènements n’étaient pas pour spécialement ramener la gaité au sein de la légion.

Sans surprise, ca avait peut-être même eu l’effet contraire. Bah. Ca allait bien se tasser. Il le fallait, absolument. Soudain sujette à un étrange sentiment de défaite, la daeva s’était écartée de son chemin initial, pour flâner un peu dans Pandémonium. Même se rendre à la taverne lui paraissait insurmontable. Jouer la comédie, sourire. Non, aujourd’hui, ça n’aurait pas été naturel. Elle observa un moment les allées et venues de la foule, devant le temple d’or, ignorant les visages connus pour se concentrer sur le flux anonyme de la masse. Ils avaient une vie si simple, en fait, par certains côtés…

Mince. Encore quelques minutes d’auto flagellation, et elle risquait de se retrouver à se pleurnicher sur son très triste, et très malheureux sort. La bonne blague. Reprenant sa route, elle ouvrit son grimoire, et consulta la liste. C’était une très, très petite liste, en fait. 'Pas demain la veille qu’ils feraient fortune…

Inattentive, Carmin heurta de plein fouet un immense daeva qui n’avait pas daigné s’écarter d’un iota de son chemin, et lâcha son livre. La sorcière retint l’insulte qui lui montait aux lèvres, et inspira, tout en reprenant son équilibre. Il n’en valait pas la peine. Aucun de ces idiots arrogants et méprisants. Qu’ils aillent tous se faire déchiqueter par les balaurs, tiens.

C’est en ramassant son ouvrage, qu’elle aperçut l’affiche, disposée sur un panneau qu’elle n’avait guère pris l’habitude de consulter. Le visage lui semblait vaguement familier, elle s’approcha. Effectivement.

Hokhmah, Hokhmah…avec qui avait-elle parlé de lui, déjà ?

Forte récompense, hein ? Elle reprit sa page, sortit son morceau de fusain et recopia le nom, l’entourant d’un geste vif.

Enfin un peu d’action. Une bonne intuition, surtout. Un sourire aux lèvres, elle se dépêcha de regagner le siège de la légion.

Myria s'approchait de la taverne d'un pas traînant lorsqu'elle vit l'avis de recherche. S'approchant de l'affiche, elle commença par se demander quel idiot avait pu écrire ces inepties. Surprise de voir le sceau de sa guilde, elle frappa du poing le papier et décida de tirer tout cela au claire. pour cela, elle devait trouver ce Hokhmah.

L'avenue semblait vide, pas d'enfants, pas de passants, et même pas d'ivrogne. Retirer l'avis lui semblait possible mais elle se doutait que Vonsen en profiterait pour la traiter de gamine. Les passants commençait à montrer le bout de leur nez. Bientôt, l'affiche serait connue de tous.

Myria tremblait de honte. Sa propre guilde l'évitait, et aller jusqu'à la mépriser. Elle tremblait car elle prenait conscience de son échec.

" Finalement, la grande Myria n'est qu'une illusion... C'est plutôt la gamine des Réminiscences, la folle des défenseurs... Je ne me fais respecter par personne à cause de mes réactions démesurés. Je connais mon problème mais je ne peux le résoudre. "

Sa mèche ondoyait sous le vent et découvrait de fines larmes coulant le long des joues de la prêtresse. Elle tourna le dos à l'affiche et disparut dans l'allée.

La sorcière regardait l'avis de recherche qui hantait ses journées depuis une décade. l'homme demeurait introuvable ou il avait été trouvé, qui pouvait savoir. Elle avait suivi les pistes, celles données par cette bande d'ivrognes de la taverne Appelbine. Elle s'était même manifesté comme une "aide potentielle" à cette Myria des réminiscences, cette tourmentée donzelle qu'elle avait ramassé sur le trottoir de la taverne, en proie à ses démons...
De ce côté, rien non plus, elle se souvint des paroles de Lunielle : "...s'il éclaire le chemin de la gnose, sinon, qu'il affronte son destin et rejoigne l'éther."
Manifestement ce spectre n'apporterait rien à la connaissance de la cité figée ni à la gnose en elle même. Zarovna nota mentalement de se fier plus souvent à l'instinct de la Marchombre.
Sa griffe s'embrasa et immola l'avis de recherche qui se dispersa en neige cendrée aux quatre vents, elle reprit sa marche.

[Hrp : nous avons essayé de nous intéresser à cet évent que vous sembliez proposer à tous sous forme d'un avis de recherche, hélas à aucun moment les choses ne semblent avoir été gérées par un MJ ou tout du moins un coordinateur. On aura au moins essayé...]

[HRP : Comme vous vous en doutez c'est en stand-by pour le moment. Je suis sans nouvelles d'Hokmah. Je vais donc m'occuper de modifier quelques petites choses et de faire repartir ça sur les rails ! ]

[hrp] La disparition d'Hokmah ne met pas en péril que cet event, c'est dommage je trouve, nous aussi nous avions des affaires en cours avec lui :/ [hrp]