Le petit journal d'Aoife

Depuis le sauvetage, le dernier sauvetage d'Aoife, la jeune femme s'était promis de ne plus mettre qui que se soit en danger, et d'étudier fortement pour égaler enfin les ainés plus rusés et intelligents. C'est pour cela que malgrés tout ses efforts pour déchiffré ce livre offert par Maeldron et sa délicieux fiancée, Aoife avec acceptée une mission d'infiltration dans un Dredgion... Ce qui fut pour Nilistan... une erreur de sa part.. encore... encore et encore...

Le drana est anti-thèse de l'ether.. tout le monde le sait. Alors le Drana sur un esprit d'ether?

Nilistan avait disparut, et c'est sous un cerisier en fleur qu'Aoife gardait le silence, essayant encore de comprendre comment il avait pu etre prit au piège...

C'était entièrement de sa faute... C'est elle qui avait accepter la mission... pas lui. Il aurait pu etre libre... Heureux, Grace a Souraj et Maeldron qui lui offraient de nouvelles voies. Mais non, il avait fallut qu'il s'accroche a elle avec une passion... mortel?
Aoife se mordit les lèvres. Depuis le début de son arrivée a Sanctum, tout était partit de travers... Pourtant... Elle n'avait ete qu'une enfant... Une simple jeune fille avec des reves....
Elle se passa a nouveau une main sur son visage. Qu'avait-elle fait de mal? Juste... Juste exploré... découvert... Voulu comprendre... Et Finalement... A cause d'elle...
Elle tira sur le tissus qui couvrait sa poitrine... Sous sa main, les larmes coulaient... Sa seule erreur... était donc le pécher de ses parents? Sa propre existance? Nilistan aurait il vraiment été heureux sans elle?

Elle avait mal... Cette douleur qui vous prend la poitrine comme des doigts glacés et qui resserrent doucement votre coeur. Cette même douleur écarlate qui ronge petit a petit votre être jusqu'a douter même de votre existance. Cette même souffrance qui vous arrache le reste de raison pour vous donner envie de ramper aux pieds d'aion pour supplier celuici de mourir, de vous effacer...
LE besoin de tendre la main vers sa toge et de tiré sur le tissus en pleurant toutes les larmes de son corps d'effacer jusqu'a la moindre trace de son existence.


Mais même cela... Elle ne s'y résoudrait jamais.

Aoife releva les yeux vers le ciel, murmurant silencieusement: " Oeil pour Oeil, dent pour dent..."
Oui... Les Balaurs allaient souffrir a leur tour... Elle leur retirerait toute raison de vivre comme il venait de lui retiré Son frère... son jumeau... Son précieux ami. Et Si Aion l'entend... lui qui peut lire dans les coeurs de ses créatures, elle lui murmura encore qu'elle irait chercher Nilistan.

Demander de l'aide etait ce vraiment utile? les autres avaient ete si gentils... Et elle si... loin... Toloki.. Eidyan... Astaldo, Inya... Numiel et Ankalia... Ylie et Exirel...

Elle pinça les lêvres. Echec sur echec, il faudrait revenir, les mettre au courant, les remercier...Les rassurer aussi. Et aussi... Revenir en aillant comprit comment...
Bon sang!!! ça aurait dut etre elle qui aurait du le protéger lui!!! Il etait plus faible mais voulait tout le temps la proteger, mais c'etait le contraire! C'etait elle la plus vieille et la plus puissante des deux apres tout! C'etait a elle de le protéger!

Il a fallut que cet energumène fonce dans le tas avec ses dagues et cherche a lui libéré le passage! Elle aurait pu leur envoyer un esprit! Et lui aurait dut lui obéhir et fuir en premier!
Alors pourquoi est ce qu'il a refuser alors qu'elle pouvais les tenir en respect! Pourquoi a t'il fallut qu'il s'obstine encore! Tête de mule incontrolable!!! Elle enrageait de son impuissance... inconscience, faiblesse, de cette douleur qui lui rappel plus que tout au monde combien elle ne pourra plus jamais lui crier dessus, ou le prendre dans ses bras quand un souvenir le rendait malheureux, le rassurer... C'etait... finit.

Elle se releva et prit son manteau noir.

"Je t'aime."

Elle posa une fleur sur cette tombe vide, monument simple tailler dans le marbre de Theobomos, décoré de fleurs d'argent, et d'une légère fresque représentant Arbolus, mais qui gardait encore graver le nom complet de nilistan.
Celui que personne d'autre que elle et Maeldron connait.

"C'est notre secret... Le secret de ton passé... Juliar..."

Elle regarda le petit monument sous ce cerisier.

" Tu m'a promis de revenir quoi qu'il arrive. Mais cette fois... C'est moi qui va venir te récupéré. Grace a mes connaissances aquises, un jour je te ramènerais complet et libre."

Elle s'éloigna de ce sanctuaire qu'elle plaça sous une barrière magique d'illusion... Une simple tombe ancienne aux yeux de tous. Mais si la barrière disparaissait, se serait une sorte d'ilot de verdure protéger par un arbre en fleurs sous lequel la dalle de marbre blanc brillerait comme une perle abandonnée. Les roses doucement grimpent sur le dos de la pierre et se penche doucement, comme pour bercer l'esprit qui quelque part encore, doit lutter pour sa survie.

Elle se trainait pour revenir a Sanctum, détachée de se qui l'entourait... Comment expliquer... Comment leur dire... Hey! Salut! Nilistan est mort! je suis déprimée! je peux avoir un calin? Ha... ha... ha...

Aoife caressa sa pierre a sa gorge. Elle etait adulte maintenant... Il fallait faire face... Mais, c'était dur... Aller voir Maeldron, lui dire: le drana a tuer nilistan, tout est de ma faute... je ne peux rien... Je me sens perdue, et votre livre est indéchiffrable...

Ou arriver devant Eidyan et Anithia et pleurer comme avant quand elle etait petite... mais sa aussi c'etait plus de son age... Il ne restait plus qu'a rester droite, et franche.

Qu'est ce qui se passerait si elle croisait Toloki? ou une connaissance... Voyons pire: KUZO!! Pleurer devant lui serait a proprement parler le pire de tout!!

Elle dut tout de même prend une pause, juste cinqs minutes, ravalant ses larmes. le téléporteur était pas loin, avait t'elle encore asser d'argent... essuyant d'un geste une larme, elle fouilla sa bourse... Juste asser. Elle se releva et marcha vers l'homme qui allait la ramener a Sanctum...

Pourvue que les problèmes ne s'ajoutent pas, et qu'elle puisse evoluée pour ramener nilistan.

" Nilistan... Juliar... Si seulement tu était là..."


Bientôt ses talons retentirent sur le sol blanc de la ville sainte deavas. Et son manteau couvrant totalement ses vetements claquant dans l'air, le vent semblant l'acceuillir.
" Bienvenu a Sanctum, Fille maudite d'asmodée et d'Elyséa. "
c'est ce qu'elle pensa un instant.

Il avait fallut qu'elle croise des gens, oooh par pitier, ne me dites pas que c'etait encore un sourir de charmeur ou quoi que se soit?

Enfin, ce n'etait pas vraiment le moment de tenter de lui parlée, elle n'avait vraiment pas le moral, si elle avant des chaussette, le moral aurait fuit par un troue! plus bas que dans une chaussette...

Tout ce qu'elle aurait voulu, c'est juste entendre les autres sans etre repérée, mais vu les yeux bleu de ce pirate, c'etait raté dès son arrivée, elle avait pourtant tentée d'etre discrete. Bon, admettont. Il etait pas moche.. mais elle aurait tout de même préférer remettre ses idées en place avant de tenter un dialogue.

Il est pirate, et avant chef d'un truc pourpre... Mmmh... Elle songea qu'elle en avait entendu parler. Et puis les deux femmes avec leurs remarques lui firent mal. Nilistan lui manquait vraiment... Comment en trois minutes aurait t'elle pu etre amie avec un type qui a l'air d'etre un chasseur de femmes. Genre trois tete par jour dans un tableau de chasse.

Aoife n'aimait pas cela...

Aoife avait envie de stabilité, de retrouver une maison, un foyer... De se mettre en sécurité et vider son coeur de toutes les larmes qu'il retenait, cachée dans des couvertures chaudes pour espérer en sortir qu'après avoir retrouver un semblant de dignité...
Avoir l'air forte.. quelle blague cruel...

A un moment ou un autre, il faudra bien aller voir Eidy et Toloki... leurs dire... Ecrire a Souraj...

Zut, sa aurait ete bien plus drôle si nilistan avait ete la, elle aurait profiter et poser pleins de questions sur la légion pourpre, ou sur le navire, ou bien sur ce drôle de chasseur. Bref... Autre chose que l'envie de fuir a la moindre remarque.

Est ce que c'est cela donc le véritable malaise ressentit? le chagrin? encore une fois?

Elle passa les doigts dans ses cheveux, et regarda la maison ou etait auparavant Inya et Astaldo, ses parents adoptifs... Portés disparut tout les deux... trois meme.. Inya attendait un enfant...
Et a Verteron, dans la maison de sa premiere maman adoptive, Karayal? personne non plus... Personne a qui demander conseil. Il fallait donc affronter la réalité... seule?

Eidy pourrait t'elle avoir un conseil pour calmer cette douleur dans sa poitrine? Et toloki? Peut etre retourner chez Anithia et Maeldron... Le chaton doit toujours etre la bas a coller aux basque des habitants du manoir, a jouer avec la ficelle et la pelote de laine. Brave bête... Mais pour le moment... elle cherchait encore comment arriver la bas, avec son air de croque-mort, et annoncer que nilistan avait probablement disparut a jamais... non non, nilistan ne se laisserait jamais faire! C'etait un battant, une tête de mûle! meme pour un esprit!

Elle soupira, assise dans le parc... Il va bien falloir y aller, sinon elle risque bien de passer plusieurs nuit dehors sans rien pour ce couvrir, et ici, il fait bien plus froid a Théobomos...

" Merci Aion de m'avoir fait naitre... " fit t'elle avec ironie.

Les jours se suivaient mais curieusement aucuns ne se ressemblaient. Il y avait des rencontres interressantes et tellement de questions, d'envie de les connaitres... Mais... quelque chose manquait... Quelque chose qui comblait son coeur avant. Nilistan...

Les yeux fermés, allongée sur son lit, les cheveux étalés, une main de le vide hors du matelas, elle restait comme léthargique, sombrant a moitier dans le sommeil, une vision se profilant doucement dans une esprit seul... Une silhouette d'un beau militaire, aux yeux bleus, tendant la main vers soit, murmurant d'une voie douce "vient" son corps muscler brillant au soleil l'accueillant alors qu'elle prend sa main et la serrant doucement comme pour la rassuré, puis encore un "vient".
Elle se reveilla brusquement en se redressant, honteuse. Mais qu'est ce que c'etait que ça!!! D'ou sa sort! Qu'est ce qu'il me prend tout a coup?
Se levant, allant directement dans la salle d'eau, elle laissa couler le liquide sur elle, encore vétue de sa chemise avant de calculer qu'elle avait oublier de la retiré. Mais... qu'est ce qu'il se passe dans sa tête? pourquoi?
Un mot: Solitude.

Elle essora sa chemise blanche, soupirant de son idiotie. Ses derniers temps elle avait la tête ailleurs... Loin... C'est vrai qu'elle revait de plus en plus souvent de trouver quelqu'un pour trouver la paix. Il n'y avait plus qu'a se réhabituer... a être comme ça seule. Peut etre bien qu'elle devrait se trouver des ami(e)s... Oublier? Non impossible, son rire résonnait encore des sa tête, il lui manquait... Sa présence rassurante lui manquait... Ses mimiques, leurs rêves qu'ils partageait.. les pensées communes, le partage des sens, ils etaient ensembles constament, jamais vraiment seuls...
Nilistan était vraiment son seul compagnon... Le seul qui avait tout partager avec elle, et elle tout partager avec lui. Il n'y avait plus de secrets, pas de mensonge, juste une etroite confiance et un amour indiscutable entre eux. Ils n'etaient plus seuls...
Mais tout cela était finit...
Elle était désormais toute seule... Et Nilistan ne reviendrait peut etre plus a cause d'elle... Mort... Il était... Mort... Il ne lui restait plus rien, juste des rêves qui sont juste là pour atténuer sa souffrance.
Bien sur qu'il y avait la famille, chaude, douce. Mais, Nilistan etait plus que tout ça.
Alors pourquoi rever d'un être qui n'existe pas et prend le visage d'un homme... qui a bien faillit la conduire en cellule.
Peut etre juste par ce que c'était juste "beau" a voir...

Elle passa une robe reprit la veille dans son ancien chez elle. L'autre soir, il y avait beaucoup de monde au manoir... Des gens qu'elle n'avait jamais vu. Elle avait faillit etre touchée par une dame aux cheveux blancs comme neige, accompagnée d'une fille qui aurait peut etre pu etre une amie? Il y avait ceylati aussi en bas.. quelque chose avait changer d'ailleurs en elle.

Et ensuite, elle avait vu la douce Astrelianna, et une amie a elle, et ce pauvre monsieur Tarsy qui avait eut le malheur de la toucher... Il doit en avoir encore quelques pauvres traces. Et cette malheureuse femme avec qui elle avait ete un peu trop franche...

Elle aurait aimé... avoir un ami a qui parler... Parler de nilistan... Parler de la pluie, ou du beau temps... ou partager son expérience, ses aventures, leurs savoir commun... Quelqu'un avec qui... être juste soit?

Le pire peut etre.. etait qu'il y a quelques heures a peine.. Elle avait vu dans la bibliothèque un homme... Tout vétue de noir, inquiètant, mais il l'avait intriguée.. elle l'avait probablement vexer, mais quelque chose chez lui était effrayant par moment, surtout lorsqu'elle avait vu...
Non ses yeux ne la trompent jamais. Elle est constament en scann... Et elle avait parfaitement vu sous le masque quelque chose... comment l'expliquer... Et ses Ombres qui se mouvaient avec une volonté propre comme les murs de la maison... Sauf qu'elle se sentait bien dans la maison, alors que dehors, lorsqu'elle était suivit par l'une d'elle, elle avait sentit une différence. Cette même différence qu'elle redoutait, et qui l'attirait pourtant.

elle ferma sa robe dans le dos, avec une nouvelle pensée pour son rêve... Valait mieux les études plutôt que de rêver.
"J'ai envie d'une glace... Oui, je vais aller me chercher une glace." Elle étendit sa chemise trempée avant d'aller voir son Tuteur pour l'avertir qu'elle allait chez Aktus manger une glace.
Oui, sa change le monde dans ma tête quelques instants. Une bonne glace, une de ses nouveauté... elle enfila ses bottes, prenant son argent durement gagner et avant, allait un peu au square, il y avait un marchand de livres installer la ses derniers jours. Et Ezeckiell y etait venu. Elle avait envie de parler, poser des questions... echanger...

Ne pas être seule, c'est pour sa qu'elle lui proposa de venir prendre un verre. Elle était génée, jeune, que pouvait elle bien dire a un homme qui avait voyager:
"Bonjour je suis Aoife je sais parler quatres langues, manipuler l'ether, controler l'esprit des gens, déformé la trame de vie pour créer ou reconstituer des gens et des choses, et mes yeux voyent dans la nuit, et je peux aussi lire vos pensées si je le souhaite, voulez vous bien devenir malgré tout mon ami?"

la bonne blague. Autant rester juste toute mignonne et se taire. Les capacités apprises ne devaient plus etre révélées. Mais... La solitude la rongeait. Il dut partit, surement des affaires a réglés, ou alors elle était ennuyeuse... Mais cela lui donnait envie de fondre en larmes. C'est pourquoi elle continua a manger, jusqu'à se que le type au masque complet n'entre.

Suivit bientôt de Ceylati...

Tous habiller comme loric a une époque...

La douleur la rongeait, oooh elle ne pouvait même pas essayer de s'excuser auprès de l'homme... Et ce fut Maeldron le dernier qui entra... Pourquoi avait elle tellement l'impression d'etre la seule gamine du groupe, la seule qui malgré ses connaissances se doit d'etre en arrière? toute seule...

Elle avait besoin de sortir. Et quel plaisir se fut d'a nouveau entendre un appel mental. Oh, comme se fut un soulagement de pouvoir s'évader avec la Brise...
Et pourtant, Devael y etait, et cela lui rappelait se qu'elle avait vu dans la tête de Kuzo... La fouine qui vend du dranas comme un produit banal malgré le danger!!! La haine pour ses produits la faisait suffoquer, la chasse fut une boucherie.
Karap court, court, Woochy et Devael vont t'embrocher, eidy va les soutenir et moi et mon esprit nous allons te cuire, le repas de ce midi va etre agréable.

Oui, c'est soulageant d'avoir enfin... un peu de compagnie, des amis.. Eidy lui avait manquer, Woochy etait toujours le même. Un vrai plaisir de les retrouver, même si.. même si elle n'arrivait pas a se défaire de la douleur...

Le poid de la solitude dans son esprit la rendait malade de souffrance...


"Veux tu etre mon ami?"

Qu'est ce qu'il lui a prit soudain, de demander a l'inconnu masquer de bien vouloir devenir son ami? peut etre par ce qu'elle avait entendu la discution de Mayli avec lui? Et qu'elle ne voulait plus le blesser en aillant peur du masque.
Ou peut etre juste par ce qu'il etait aussi seul qu'elle et qu'elle avait envie de le connaitre. Malgré la peur, malgré le danger, malgré tout, elle pourrait... Par ce qu'elle a confiance en Maeldron et Souraj. S'ils le connaissent sans peur, elle n'a pas besoin d'avoir peur. Par ce qu'elle est aussi comme eux... Même s'ils ne connaissent pas son niveau.

Après tout, elle n'aime pas etre une intello, elle aime juste être elle même. Juste Aoife.

" Vän! "

Elle l'avait nommé Vän... Il l'avait accepter. Peut etre que sur son visage ça ne se vit pas, mais en elle, son coeur venait de trouver la paix... Plus tard chez elle, elle pleura... Longtemps...

Nilistan lui manquait vraiment...

Elle gisait une fois de plus sur son lit, résistant a un interminable besoin... Comme c'était étrange de réaliser que soudain, de nouveaux visages apparaissaient, semblant tous lui faire plaisir a connaitre. Astrelianna, Annalia, Vän, Kezak, et maintenant Menali, et bien d'autres encore, tous devenus important dans cette ville qui doucement renait. Cette ville qu'elle n'aime pas... Sans beauté réelle, sans nature, stricte.... Pandaemonium était bien plus belle... Plus vivante. D'ailleurs, elle avait croiser un de ses Habitants dans les abysses... et promis de lui écrire.
Mais les gens qui affluaient a Sanctum semblaient ce préparer a un renouveau. Même Nilistan qui était revenu on ne sait pas encore comment, semblait devoir faire face a un changement. Anithia avait été clair. très Clair. Et Aoife approuvait, la structure de son environnement nouveau l'aidait a prendre des decisions. Maeldron semblait l'aider a trouver des limites. Et Anithia lui apportait une nouvelle vision des choses.

Jamais Johnathan, son père biologique ne lui avait donner cela. Ni même son Oncle... Le Mulot. Seule Rellina avait eut un semblant d'amour a sa façon en la tatouant pour soit-disant la préservé du mauvais sort. Mais cela apparament n'était pas fonctionnel. Rellina avait toujours été dans son enfance, une personne vivante, et froide a la fois. Dès qu'elle revenait de mission elle était froide. Mais quand la petite avait été vue par un garde a l'époque ou Les metisse etait une hérésie dans les moeurs, elle avait réagit aussi vite que John et Lemulot qui n'avaient rien vu venir.

Aoife était la, dans une petite robe bleu, léchant sa sucette, et le garde la regardait fixement, elle avait sourit, du haut de son petit 1m15 avec encore des couettes, dans son bel age de 7 ans et demi. L'homme avait lever son albarde, pret a la trancher en deux quand elle surgit de derriere lui, ses yeux violet brillant d'un eclat meurtrier, la dague sous la gorge.

Aoife n'entendit jamais se qu'elle lui dit. Car le Mulot l'avait attrapée et emportée aussi vite, de loin, elle vit le garde tombé au sol en se tenant la Gorge, Rellina dans toute sa droiture le regarder, posant un pied sur lui.

un crit la fit regarder ailleurs, le Mulot lui cacha alors les yeux et la mit dans sa chambre, les shugos s'affèrent a tout remballer. Elle ne sut jamais se qui était arriver a l'homme. Mais Rellina revint, la fixant de ses yeux glacés.
Johnathan disparut une nouvelle fois le lendemain, Azpheil lui tapota la tête en silence, Rellina regardait ailleurs. Johnathan n'etait jamais vraiment rester avec sa fille. Jamais.


C'est pourquoi, elle avait été heureuse de decouvrir l'amour maternel de Karayal, et paternel d'astaldo, mais tout deux étaient libres... trop Libres, et Aoife n'arrivait pas a bien saisir les rêgles de prudences. Tout deux étaient partit. C'est pourquoi la demande de Maeldron lui avait soulagé se manque. Elle découvrait doucement les limites a ne pas dépasser, la sagesse de Maeldron lui faisait voir une nouvelle manière de découvrir le monde. La douceur d'Anithia mais en même temps son comportement courageux face a la colère de la maison, l'avait impressionner. Alors c'était cela, une famille? C'était rassurant, educatif, et la meilleur voie pour évoluer... Oui. Sa lui plaisait.

C'est pour cela qu'elle savait que Nilistan avait tord de penser que c'etait mieux d'être libre. Et qu'il fallait que lui aussi comprenne doucement que parfois avoir une limite permettait aussi de respecter les principes de bases qu'il leurs manquaient a tout les deux. Anithia avait raison.

Elle remonta sa chemise de nuit sur sa jambe, il fallait un peu chaud... elle se sentait encore partir... Mais se soir elle avait un soucis. Kezak étant un Métisse aussi, elle devait probablement découvrir la nouvelle source des voies... Les Voies d'un chasseurs de Métisses. Elle ne voulait pas que ce nouvel ami soit déjà confronté a se problème. Les armes du chasseur était l'épuisement mental. Une attaque mental qui avait une répèrcution.. Les voies devaient etre d'une nature qu'elle ne comprenait pas. Elle en avait saigner des oreilles tant c'était aigue, et avait cru devenir un instant sourde.

Incapable de vraiment parler encore a Papa Maeldron comme une Spirite sérieuse, elle songea qu'elle devait en parler a Souraj.
La communication était difficile avec son entourage... très difficile.

Les questions se bousculaient, surtout pour le Métisse, il lui rappelait quelqu'un, il y a longtemps... très longtemps... elle devait vraiment etre toute petite pour ne pas se souvenir... Mais quelque chose l'intriguait... Quand elle le regardait, elle avait l'impression d'être proche, et a la fois loin de lui. Comme avec ... avec ...

Incapable de se rappelée, elle se tourna sur le matelat, chassant dras et couvertures, la chemise de nuit semblant trop cotoneuse aussi. Elle avait l'impression de bouillir comme Vän lorsqu'un pose les doigts sur sa peau. Vän... Il avait prit une place aussi importante que celle de nilistan, avec eux deux, elle avait l'impression qu'ils étaient complementaire.

Nilistan l'infronté, Vän le tranquille, Aoife la curieuse. Elle rit, drôle d'équipe que voila. Mais quelque part, peut etre que Nilistan évolurait vers un nouvel horizon avec Vän comme ami. Elle espérait qu'ils le deviennent. Mais elle avait tellement envie aussi d'inclure leurs nouveaux camarades Daevas. Tout ses nouveaux visages qui semblaient apporté un souffle frais.

Mais la question demeurait pour Zak... Zak... Qui est etait t'il réellement? comment un garçon comme lui avait autant d'amour pour les plus jeune comme si sa nature lui avait donner une petite soeur. et Comment en même temps il arrivait a revenir couvert de sang? Quel etre etrange!

Les questions s'entrechoquaient lors que les voies revinrent la rappeler a l'Ordre:

"Nous serons toujours là... Nous te prendrons... Nous nous serviront sur toi.. sur vous... votre sang ... Oui.. votre sang sent si booon, sii douuux. Nous nouuus serviront. L'autre... L'autre nous le jeterons après... Mais Elle... nous l'utiliserons... ouiiii... et nous nous servirons."

Elle hurla: "SILENCE!"

Tout revint avant que doucement susurent une voix aigue: "Tu nous a déjà accepter... Tu est perdu, bientôt.. bientôt... son sang chaud reconstitura notre corp...oui... Et Lui... Lui... nous rendra force..."

Elle se boucha les oreilles, du sang coule entre ses doigts... Elle ne voulait méler personne tout a l'heure, mais... elle devait avertir Souraj... Et Vän... Nilistan veillait devant le Manoir pour voir si personne n'était là... Mais... ces voix.. ces voix venaient d'ailleurs.. Un sorcier... ou un Mage.. ou un Spirit... Dans tout les cas.. cette personne avait l'air d'établir un echequier dans sa tête et elle ne voulait pas perdre face a cette pression. Elle n'est pas folle. Elle connait le mental... Elle doit donc les battre sur ce terrain.

Nilis... Nilis... Tu va devoir protéger le monde Physique pendant que je lutterais contre Ces attaques... tu dois devenir fort, et t'entrainer avec Souraj a développer un bouclier mental... la psyché est importante... d'ou l'interret de la connaissance... Tu dois apprendre, pour cela, tu dois accepter l'aide de Souraj et de Vän...
Papa Maeldron a tellement de choses a faire... Il faudra compter que sur nous même... Je veux protéger les autres... Je dois devenir performante... Je veux survivre pour continuer le combat pour Atréia...

Ombre du bureau des Arr la noyait dans sa fureur d'étudier encore. Laynar l'avait rendue furieuse, elle n'était plus une enfant, elle n'avait pas le niveau... elle voulait lui faire comprendre que se n'est pas en se suicidant qu'on peux vaincre les ennemis d'Aion!
Elle aurait aimée etre plus vieille et plus jolie peut etre pour qu'il écoute au moins se que sa voie de petite fille essayait d'exprimé avec désespoir, protéger Vän qui n'était pas encore près... Elle sentait que si Vän disait que se n'etait pas une bonne idée, s'etait vrai. Mais l'arrivée de Nilistan avait tout fait raté... Elle n'avait encore pas pu exprimé en face de Lay' se qu'elle ressentait vis a vis de l'affaire et pourquoi elle refusait.
Laynar avait foncer sur Nilistan, se jurons de la lui coupé... Elle avait eut peur, avait prit la décision de stopper le soldat... mais c'etait peut etre pas lui qu'elle aurait du transformé en petit esprit de feu quelques secondes...

Elle s'allongea sur le sol du bureau, regardant le plafond, retenant des larmes. Pourquoi ne la laissait on pas s' exprimée? Echangée... Ce fichu soldat n'écoutait pas... elle était tout simplement trop jeune pour qu'il l'écoute... Ce soir... Nilistan ne lui avait encore pas fait confiance...

L'étaut de son coeur se resserra encore, lui donnant une impression désagréable... Contrairement a ses Cousins adoptifs, Emios et Alessy, Aoife était inutile... Totalement inutile. Elle n'avait pas la puissance, ni les dons, elle n'avait juste que sa tête... Ne pas foncer dans le tas, et refléchir a une tactique. Elle pensait comme cela.

Elle regarda le ciel par la porte brisée... Pauvre Vän, c'était de sa faute a elle si Nilistan se montrait protecteur... Au point ou elle se sentait encore plus lamentable.

"Kezak, si tu m'entend... je sais que tu ne comprendrais pas pourquoi je me tourne vers toi, mais j'ai parfois l'impression que tu peux me comprendre..."

Dans sa tête, Aoife entendait le bourdonnement de l'attaque... Le craquement sec de quelque chose ressemblant a une poutre qui se brise. Puis au prédateur qui guette, tapie dans l'ombre, silencieux et menaçant. Les voies doucement chuchotaient avec ce trait bien a elles, vicieuse et chargées d'une attente a la limite du sensuel. Comme le souffle roque du chasseur qui vous traque.

Doucement les voies se mirent a crier une note sinistre avant que la douleur ne s'empare de sa tête et ne la plie en deux. Ce tenant la tête rampant presque au sol, se tordant d'une douleur indescriptible, elle sentait que son temps était compter avant qu'elle ne meurt d'épuisement.

C'est pourquoi, les vêtements maculé de sang, Aoife prit quand même le temps de lire.. encore et encore les diverse livre sur la psychée... Jusqu'a se que l'étoffe de sa robe ne raidisse et qu'elle même ne tombe dans les pommes, de plus en plus mal...
Mais le plus douloureux serait d'être achevée alors que son corps ne tenait plus le rythme, elle n'avait plus faim... elle se sentait dépérir de fatigue.. si Souraj n'avait pas offert ses dix heures de sommeil aidé de sa mère, elle en serait peut etre morte...

"Je ne sais plus vers qui me tourner..."

Sa tête était oppressée de toute part, le but était de combattre les balaurs, d'etre actif... de protéger Aion et les humains... de toujours s'amélioré. Toute sa vie, elle avait chercher a devenir plus forte.. pour au final découvrir qu'elle se servait a rien... a rien du tout. Aoife regardit a nouveau la porte défoncée avant de se lever.
Peut etre que réparer ça... Peut etre que sa lui ferait un peu plaisir...

Elle sortit sa longue aiguille de Miren, sa création, le savoir de Kreine... Elle inspira profondement, debout devant la porte brisée avant d'expiré doucement, et de réouvrir les yeux sur la toile d'ether en face d'elle. La trame du monde...
Ici et la, l'ether coulait comme un fil complexe qu'avait ete la porte, et doucement, elle refit venir le fil a sa place, les morceaux redevenant complet, plaçant comme une couturiere ses pièces brisées qui doucement redevinrent celle qui fut elle merveilleuse gardienne d'un autre temps. Les jeunes doigts dansaient dans l'air, maniant avec une beauté de chef d'orchestre son aiguille investie d'un rare ether aussi pure que brulant. Les fils passaient entrecroisant, un au dessus, un en dessous tel une merveilleuse symphonie avant que dans la lumière de la lune, l'ancienne porte se redressait sur des gongs qui semblaient ne jamais avoir bouger. peut etre un brin molle... tapisserie?

Aoife fit un sourire géné. Tout était dans l'amour que l'on portait a son oeuvre, et pour qui... Ce qui a donner peut etre ce coté un peu fluide... tissus... Hum. Il allait encore raler pour sur... oups...
Doucement l'aiguille regagna son fourreau, et sous le ciel elle resta la un instant, murmurant doucement a qui voudrait bien entendre sa penser, la laissant filer a chaque habitants de cette ville, une pensée pour chaque.. pour leurs histoires, leurs mondes.



Des larmes coulèrent sur ses joues, alors qu'elle prit ses livres, sa robe couverte de sang sec. Et elle se résigna a rentré au manoir. Jeune et inutile, c'est surement se que pensait Laynar.. Et d'autres...

Aoife était seule face à sa réalité... Parcourant les rues éclairée dans la tourmente de la nuit, la pile de livres en main, moins choquée d'avoir vu la nature des pouvoir de Vän qu'elle l'aurait cru, comme si sa confiance en lui avait été innébranlable. Elle avait eut peur pour Laynar, peur pour Le masque, mais pas peur pour elle même. Avait elle vraiment une raison de vivre?

Oui. Peut etre. Mais devenir plus forte pour aion, pour Atréia était sa plus grande motivation.

" Car c'est pour notre futur a tous que l'on se bat. Force et Honneur ne vont pas avec Folie et Suicide. "


Elle resta un moment sur le pallier du manoir, livre entre les mains, alors que sur la porte des Arr flottait une lettre d'excuse pour Laynar, signer par la jeune femme...

Aoife était désolée de ne pas être à la hauteur...

Spoiler:

Citation :

Apres tout les ennuis que j'ai eut, j'ai eut la surprise de ma vie.
Il m'a demander en mariage!!! Mon coeur s'est arreter de battre pendant quelques secondes! J'etais là, a le regarder, et tout mon âme hurlait oui! oui! oui! jusqu'a se que les mots franchissent mes lèvres.
Il m'a offert le plus beau moment de ma vie après m'avoir supporter pendant 4 longues années, et me demande de vivre avec lui, alors que nous partageons deja notre ame et notre coeur. Bien sur que je le veux! Il me rend folle, même avant son changement je l'aimais a en mourir. Maintenant, il est juste plus grand. Mais mon âme résonne et repond a la sienne, il m'était impossible de me trompée. Et Aujourd'hui, je suis enfin sa fiancée!
Aion, merci de lui avoir accorder la vie plusieurs fois et de m'avoir permise de me racheter auprès de lui.
Personne ne nous parle, on nous ignore. Je deteste Lessy, et me méfit des autres depuis qu'ils affichent tous un froid, mais mon être résonne de bonheur, vibre sur une harmonie revenue.

Je me sens revivre, mieux, et bien decidée a m'améliorée. Etre digne de lui, et de la foi qu'on m'a accorder.

Mais je me sens suivie, je crois que c'est un homme en plaque au vue des traces laissée a théobomos a la fenetre de notre chambre dans la terre. L'inquisition doit encore me surveiller... J'ai un nouvelle esprit qui se manifeste un peu quand il veux, très puissant et incontrolable encore, j'etudie sévèrement le controle pour reussir a l'empecher de venir comme bon lui semble. Je suis heureuse de reprendre l'entrainement avec la brise. Je sens toujours mon plaisir de revoir les visages de ceux qui me soutiennent et m'enseigne les véritables chosesdont j'ai besoin.
J'ai revu mon petit frere, Vän. On est un peu plus distant, mais je suis contente qu'il aille trouver quelqu'un qui l'aime. Un certain Nolomé.
La taverne s'est remplit de gens etranges, et les Ars veillent. Je ne m'en mèle plus, je veux etre tranquille, étudier, evoluer, et vivre enfin ma vie de famille avec Nilistan qui maintenant se nomme Juliar.
Je vis chez lui pendant l'absence de mon pere et ma mere... J'ai essayer de leurs parler, mais sa devient rare de pouvoir les approchés. Je voudrais partager mon bonheur avec eux... Ou avec une amie... Dommage qu'Inya aille disparut.. et Astaldo... Et Hiraeon aussi...
Je veux inviter la Brise etherée, et La Legion du ciel blanc... Je ne sais pas si il y aurait une bonne entente, on doit voir avec Juliar... Voir comment les choses se passent.
Je ne me sens pas confiente envers les Ars, peut etre par ce que Signe et Naory me detestent... J'apprécis toujours Laynar pour les deux fois ou il m'a sauver la vie, mais parfois il me fait froid dans le dos.
Comme le soir ou il a attaquer Nilistan comme pour me forcer a ouvrir un portail vers le monde des tenebres... L'inconscient. J'avais peur pour sa sécuritée... je l'accorde.

Oui... vaut mieux ne plus me méler de cela et préparer ma vie futur avec l'être le plus cher a mes yeux. Juliar a mérité le repos, et moi aussi. Même si nous sommes tout deux des guerriers au fond.
Je me sens vraiment bien, il dort a coté de moi, je porte la bague de fiancaille, elle s'est liée a mon doigt, je le regarde se reposé, je sais qu'il va avoir des journées difficiles. Je lui ai caresser les cheveux. Je regrette les anciens a la couleur de l'Aether, mais je ne peux m'empecher de sourire en reconnaissant toujours sa petite moue quand il dort, les bras autours de ma taille.

Si quelqu'un lui voulait du mal... Je ne le pardonnerais jamais... l'etre qui oserait le tuer mourirait dans d'atroces souffrances. Je ne laisserais plus personne nous briser tout les deux.
Quitte a tuer Lessy, ou quelqu'un d'autre tout aussi dangereux.
Mon coeur ne supporterait pas de perdre a nouveau mon ange. Il est ma raison d'être, ma motivation, ma famille.

Elle s'encastra dans le mur dans un bruit de pierres et d'os brisés, avant de retombé lentement le long de la paroi. Ouragan fonçait droit sur elle en leva la main pour la frapper avant qu'elle ne prononce les mots pour la rappeler dans l'aether.
Le Souffle court, elle porta la main a ses cotes... Impossible de lier un contrat a l'esprit sans concentration, et elle en manquait sérieusement depuis la sortie de prison. La peur de mal faire y était toujours présente.
Incapable de bouger, Aoife regarda le ciel, la respiration saccadée par la douleur. Les doigts cripés sur le tissus ou la tache rouge grandissait...

- Sa pue le retour au kisk...

Elle se redressa tant bien que mal pour retourner au village prendre quelques soins... C'était rien, juste une forte douleur comme lorsqu'on vous épile à la cire... Les pretres tressaient sa crinière pour qu'elle dérange moins les regards. On la reconstruisait encore...

Oui, Ouragan était encore sauvage, il allait devoir faire soigner sa peur ... Cette peur depuis le chasseur. Les medecins sortaient, c'etait finit pour l'instant.. encore heureux qu'elle payait pour cela... Son entrainement était asser risquer.
Aoife se redressa et mit les pieds nus au sol, les regardant un instant avant de remettre ses affaires.

- Ouragan est pas encore a ma portée, je dois soigner cette peur...

Elle remit sa robe, songeant a tout ses derniers évenements: Les fiançailles, les haines rageuses qui la fatiguait... Le rapportage sur ... Elle aurait jamais cru que la femme qui l'avait fait liberé aurait dit un jour cela... La main sur ses cotes, Aoife fit une grimasse avant de songer aussi aux changements a venir.
Les entrainements avec les Brises Etherée, la présentation de ce nouveau cooéquipé Jyllian, la présence de Ceylati qui devenait un mystère pour elle... L'annonce d'Eidyan, tout devenait intance, décisif pour l'avenir. Mais Ouragan etait une clef dans les combats a prévoir. Elle devait réussir.

Et Juliar... Elle devait trouver une robe, organiser les invitations... Peut etre que la Brise et le Ciel blanc, vu le froid avec ses anciens... enfin non, ils n'etaient pas vraiment amis vu se qu'elle a entendu...
Sa main repoussa un rideau alors qu'elle se déplaçait vers la fenetre.

- ça fait bien plus mal d'avoir perdu l'amour de mes parents adoptifs pour une question de sécuritée primordiale différente pour chaque point de vue... J'espère pouvoir leur prouvé que l'on s'améliore Juliar et moi, malgré les apparences...

Elle frotta ses cotes encore douloureuse.

- J'ai payer le prix de ma naïveté et de mes erreurs.

elle soupira, se décidant enfin a sortir. Elle devait encore travailler, chaque minute passant lui donnant l'impression de haïr Sanctum, et de ne jamais y retourner, pourtant... Elle y retournait, prendre des nouvelles, s'occuper un peu de son frere, prendre un verre avec Juliar avant de retourner s'entrainer. L'académie avait du bon, elle commençait a maitriser certains sorts. Mais le plus important approchait.
La défence en Abysse des arctefacts... Les dredgions affluaient tout les soirs comme pour se précipité sur la Divine. Le Commandeur Wish semblait dépasser par moment... Les Légions bataillaient rageusement contre nos cousins éloigner, se laissant surprendre par les Balaurs.
Oui... Il était temps de prendre part pour le moment au combat. Son passé d'espionne en herbe allait servir... Elle connaissait la stratégie Asmodienne, et il y avait moyen de la faire manger le tapis pour n'avoir plus qu'a repousser les Balaurs.

Aoife soupira:

- Mais avant, je dois etre plus forte. Encore plus forte.

Eidyanen avait l'air de savoir qu'elle avait étudier les plans pour les ramener a ses anciens généraux. En brave gamine qui n'avait pas vraiment le choix pour survivre. Toloki semblait lui faire confiance, et Aoife avait confiance en eux tous. Sauf Jyllian... Pour sa survit, elle s'assurait de ne jamais lui tourner le dos, et se faisait tresser la criniere régulièrement pour la cacher sous ses vetements de manière a se qu'il ne voit rien. Mais Tout les soir Juliar lui détressait pour glisser les doigts le long de son dos, semblant apprécier la douceur du duvet tendre et pas trop long. Oui, elle taillait ses crins pour les faires plus discret, et tentait de controler ses oreilles. Plus elle paraitrait élyséenne, moins on l'ennuirait.
Elle fit un sourire, Juliar... Il lui apprenait beaucoup en se moment, en passant par la cuisine a la maison, par les longues discutions, les entrainements, le combat, et les moments ou elle avait enfin apprit a nager.
Et les moments tendres... beaucoup de moments ou tout les deux se retrouvait ensembles sous les lumières d'Asmodée et d'autres peuples dont avait parler Gutts. Et de longs moment a juste etre la, savourant l'instant présent, a caresser son visage, ses cheveux, tout en savourant les nuits.
Le Lien qui les unissaient semblait moins actifs, mais il était toujours là. Les sentiments qu'elle éprouvait pour son fiancé étaient de plus en plus vif et partagés, mais le Lien n'y etait pour rien. Elle connaissait presque tout de lui, et cherchait a le combler, Il était sa raison de protéger l'avenir. Mais c'était toujours sans compter les réactions de certains... Le dégout de le voir avec une Métisse faisait réagir... Cela les reboutaient. Seul La Brise Etherée et le Ciel Blanc avait accepter cette union avec un regard bienveillant.
N'avaient donc t'ils pas comprit, ces Sanctuemois, qu'elle était pas métisse, mais plutôt une nouvelle forme d'Atréienne?
D'ailleurs, elle en connaissait trois d'Atréiennes! Des vrais, des anciennes! Des Femmes qui luttent pour leur peuples, des Elyséennes désormais. Mais avant tout des combattantes, chacunes a leur manière.

Le Général Etheril, femme monochrome, était l'une d'elle. Avec une prestence sans égal, une force de caractère térrible, et surtout: Elle savait guider ses hommes. Elle maniait comme personne ses pouvoirs, et savait se qu'elle faisait. La Général lui inspirait le respect tout autant qu'Eidyenen et Souraj, ou Numiel et Maeldron.
Aoife se sentait mieux avec ses personnes sages, qui nourrissait son cerveau de nouvelles données, et qui la motivait a combattre.

Il fallait réussir a dompter ses peurs. Reprendre confiance, mais en attendant, elle avait eut une nouvelle idée pour scanner sans que personne ne le sente... Un Objet magique.

Dans les livres, elle avait trouver comment user sans risques pour elle de quoi repérer rapidement un Aether Asmodien. Il n'y avait plus qu'a créer l'objet.
Un Monocle.

Un Oeil créer par l'aether d'un esprit invoquer qui aurait une vision plus adapter a la reconnaissance Aether. Rapide, pratique en guerre, sa devrait faire l'affaire le temps de reprendre ses activitées cerébrals total.
Mais le processus de fabrication avait été long... très long.

Finalement, elle avait réussit grace a l'air d'un bijoutier, et d'un mage, a se le créer et le tester sur le terrain... Sa fonctionnait! Sa fonctionnait! Elle voyait a présent le type d'aether sans avoir d'effort a faire! Avec un peu de bidouillage, peut etre qu'elle pourrait avoir une meilleur vue de L'utilisation de l'Aether par ses adversaire? Mais sa serait très long... Très très très long...
Elle remit l'objet en poche, après tout, pas besoin en ville.

Une note rapide:

J'ai découverts quelque chose que je n'aurais pas cru possible... Aion, pardonne a tes enfants. Par les seigneurs... Pauvre garçon...

Elle était venue aider Nariu a retrouver sa moitié, mais un contre temps fut de la partie.

Désormais, elle voyait un problème de taille. Le Comte Hazarel, créature joueuse, venait de faire l'impardonnable devant ses yeux, la rendant plus que jamais folle furieuse. Embrasser Nariu, son protégé, celui qu'elle maternait comme son propre fils, était le pêcher a ne pas faire.

Manquant d'exploser de rage et de haine envers la Luxure qu'il représentait, elle fut mordue par celui ci lorsqu'une flèche de Saviare ne les atteigne tout deux, lui faisant déchirer sa gorge de douleur. Dans un spectacle magnifique, elle déploya ses ailes tachées de vermeille, rosées comme le ciel à la nuit tombante, les plumes chantant sous un rayon de soleil asmodien, métissées et sublimes dans une dernière valse de duvet avant que Kreine ne disparaisse, ramenée à son obélisque.

Son tendre époux n'avait que raison, elle le surprotégeait.

Allait elle continuer a l'aider?

Citation :

Mon âme chante encore sa rage quand la nuit s'installe dans le foyer. Malgré l'amour de mon tendre mari et ses bons soin, je n'ai que cesse de me retourner dans mon sommeil, travaillée par l'horrible sentiment de haine et de vengance qui me dévore.

Mon âme pleurs chaque jour qu'Aion fait de ne pas avoir pu être une enfant comme les autres. Et ma douleur me ronge petit a petit dans un fardeaude souffrance qui me ronge. Je me sens malade.

Ma colère s'empare de mes mains, je souhaite les détruire, tout ses hommes qui vole a l'enfant son innocence.

Qui ose encore souiller la douceur de ses petites joues encore ronde et juvénil, dont le minoie mérite encore d'avoir cette moustache de lait, et le regard pétillant de joie. Qui oserait encore braver la rage qui m'anime lorsque je voit ses êtres impies toucher avec ses mesquines attentions, nos petits, futur symboles de notre avenir.

Oui, je me consume de rage, et souhaite encore et encore les détruire.

Ma haine devient un bouillons rageux en Harmonie avec la nature d'Atriéa, la flamme devient mon alliée pour noircir leur peau impur et les dévorés comme la lave eternelle dévore la roche.

Ma colère traversera les montagnes et les flots pour retrouver la cible de ma douleur, celui qui mérite encore et encore la mort. Cet être qui m'a retiré joie et innocence pour faire de moi une femme déchirée.

En ma chair, je porte encore la souillure du traitre Elyséen qui m'a trainée dans la boue et a retiré la confiance de mes premiers vrais parents. Celui qui m'a arracher a leur foyer, a Astaldo et Karayal... lui qui a menacer de les tuer dans sa folie, et son envie de me dominer.

Lui qui a fait de moi un mur pour mes nouveaux parents, et arracher l'envie de me confier a eux. N'aillant plus foi en personne d'autre que mon époux.

Je veux tuer ce traitre et ramener sa dépouille. Mais il l'est déjà. Ainsi, ma rage reste éternellement en veille.

Je hais l'asmodée, et ce vampire qui osa porter ses levres sur celles d'un jeune corps, je maudis ses mains griffues qui l'ont parcourut, tout comme je méprise ce Baron porcin qui osa faire de son double un jouet pour satisfère son vice.

Je porterais le drapeau de la lumière avec foi et rage au combat, car désormais je connais le visage de ma rancoeur.

Asmodée, prépare toi a mon courroux.

Depuis la naissance de mon enfant, l’inquisition n’a fait que des allers venus autours de nous… Mon mari travaillant ardemment, il n’a pu voir la pression renouvelée sur ma personne… J’aurais dut y penser.
Bien sur, des tests ont été faits sur le nourrisson, et de fortes inquiétudes pèsent à nouveaux dans mon esprit, et parmi les Clercs au service de Nezekan. Puis cette convocation est arrivée, accompagnée de gardes puissants. Un Homme galonné, le Général Calon, s’est penché sur le berceau pour prendre mon fils. Avec une précaution brutale de vieux Gladiateur, il a renversé le petit lit de bois, et a ordonner mon arrestation. Dans une lutte contre ses hommes pour reprendre mon fils, je fus blessé, et laissa échappé beaucoup de sang. Je sentis la douleur s’emparée de mon ventre, alors qu’un objet de métal heurta ma tête, et je vis le sol se rapprocher de mon visage, quelque chose craqua, puis une douleur plus forte envahit mon crâne. Je semblais tomber au ralentit, encore et encore dans le vide… Mes doigts cherchaient encore mon bébé, déjà loin de moi. Mon âme criait déjà de rage, de désespoir.

Je sombrais dans les ténèbres, tourbillonnant dans l’obscurité, me noyant dans mes propres sanglots, des palpitations dans ma poitrine s’affolaient. Puis une grande lumière m’aveugla dans cette angoissante. Je courrais comme si le temps m'en voulait personnellement. Réglé comme une partition, synchronisée et effrayante. Mon souffle devenait court et puis soudain… Rien. Le vide. Puis une voix forte criant un nouvel ordre. J’ouvrais les yeux, me voyant allongée au milieu d’une grande pièce baignée de Lumière bleutée, dans les nuages. A ma droite, je vis un géant Daeva, vêtue d’une armure sombre, l’air autoritaire et sans âge, dont tout l’Ether m’écrasait comme un insecte. Puis je distinguais d’autres personnes, me fixant avec la même expression d’interrogation, de dégout, mais de crainte aussi…

« Ainsi, les dires de nos hommes étaient vrai. Il existe encore des gens qui prônent la paix entre les deux mondes… »

Le silence accompagna ses mots tranchant, imprimé de colère. Mais la voix masculine continua :

« Vous êtes Aoife, fille des deux pôles de la tour… »

Je me redressais ressentant encore une déchirure dans ma tête, comme si j’étais rongée de l’intérieur par la peur. De mes lèvres, je ne pus tirer aucun son, car il me coupa bien avant même que j’aille pu répondre.

« Vous savez vous-même que votre nature vous a rendu folle a plusieurs reprises. »

Oui, je savais que la souffrance engendrée par la haine de bien des Elyséens m’avait noyée, rendu folle, éprouvée, massacrée. Et ma nature Asmodienne me faisait les haïr pour leur cruotée envers moi qui ne leur avait rien fait. Les Elyséens étaient des monstres…

« Oui… Je sens votre nature ombrageuse … Mais je sens aussi l’amour que vous portez à vos proches. Ainsi, vous êtes ici pour être jugée. Vous… et votre fils. »

Mon fils ! Je me tournais et me levais brusquement pour le chercher des yeux, mais il n’y avait que moi et… eux… Les Seigneurs Empyréens… Et je sentais toute leur colère déferlé sur moi.

« Calmez-vous… »

L’ordre était clair, je dus me résigner à attendre de savoir se qu’il allait m’arriver. Une femme gigantesque se redressa d’un siège que je n’avais pas vu, et pointa son doigt vers moi.

« Tu a subit ta propre double nature ! Effrayer les Elyséens ! Manquer de te tuer par ta propre angoisse ! Tu es un danger pour toi-même et les autres ! »

Nezekan la coupa :

« Elle a fait preuve d’une loyauté sans égal à l’Elyséa malgré toutes les épreuves endurée, et le racisme de tout les habitants. Même face à nous, elle semble encore être entièrement sous la bannière de la lumière. Ainsi, nous allons devoir statuer sur toi. »

La Femme me toisa un instant, puis sembla fouiller dans ma tête avant de prendre un air maternel.

« Bien… Commençons. »

Baizel se pencha en avant pour m’observer alors que Nezekan reprit la parole :

« Aoife, Vos sang réclame un équilibre qu’il va vous falloir choisir. En qui croyez-vous ? »

J’ouvrais la bouche que déjà, on me coupait.

« Bonne réponse. »

Mes pensées… ils lisent mes pensées ! Et cela sembla faire sourire les Seigneurs avant que Nezekan ne reprenne :

« Quel est votre patrie ? »

La encore je voulu répondre de tout mon cœur mais quelqu’un me coupa en criant :

« Incroyable ! Malgré tout, elle reste des nôtres ! »

Des murmures parcourraient la salle, avant que ne tonne la voix de Nezekan :

« SILENCE ! Métisse, pour votre fils : est-il Elyséen ! »

Bien sur qu’il l’est ! Mais déjà, un sourire semblait venir sur toutes les lèvres. M’enfin ! Quand pourrais-je m’exprimer !

« Vous le faites déjà sans le savoir. »

Il reprit dans un souffle :

« Acceptez vous de sacrifier tout se qui fait de vous une Asmodienne ? »

Je restais le souffle coupé, mais pour mon fils, pour lui, et tous ceux qui m’avaient protégé, j’accepterais mon destin !

« Bien… Faites entré l’enfant ! »

De lourdes portes grinçaient avant que le Général ne s’avance avec mon petit garçon.

« Aoife, désormais, vous et votre fils allez changer. Vous n’aurez plus aucuns souvenirs de votre passer de métisse, vous n’êtes plus celle que vous avez été, vous aller devoir quitter votre époux, et accepter d’être morte. »

Morte ? Que voulait-il dire ? Mais il leva déjà la main, et le général mit dans mes bras, mon enfant, avant de trancher mes vêtements devant l’assemblée. Il prit les lambeaux et partit, fermant derrière lui, chacun des seigneurs se mit debout et leva le bras vers le ciel, récitant une vieille formule.

Brutalement, je sentis en moi une déchirure, mes yeux furent aveuglés par une forte luminosité, et un souffle brulant m’entoura depuis le sol, soulevant mes cheveux vers le ciel, et me donnant l’impression d’avoir la peau d’arrachée a vif, alors que j’entendis Nezekan prononcer ces derniers mots a mon attention :

« Vous ne vous souviendrez de rien d’autre que de votre fils, et mes dernières paroles : Calon est votre précepteur, vous serrez son élève, votre ancienne partie Asmodienne retourne en asmodée, entière et complète de son coté, avec son propre fils, également moitié du votre. Ils seront votre reflet, le miroir de votre âme, mais vous n’aurez aucun contact avec. Vos souvenirs d’Asmodée iront avec. Vous êtes désormais Elyséenne. »

Dans mon dos, je sentais qu’on tirait sur ma peau comme pour arraché les muscles et mes os alors que la voix continuait :

« Désormais, vous avez tout oublié de votre passer, vous serez quelqu’un d’autre. Votre nouveau nom est… »

Ce nouveau nom entra dans ma chair, comme pour me marquer au fer rouge, brulant toute mon identité pour ne faire qu’un avec moi, j’entendis les cris de mon enfant qui semblait souffrir lui aussi de quelque chose qui nous quittait, je cherchais a le consolé, alors que doucement, le visage de son père s’effaçait. Puis Tout ceux que j’avais connu, détester, haït, puis je vis de nouveaux visages souriant, des camarades de guerre, des amis, des voix rassurantes, des dossiers s’empiler, un Général me gueulant dessus pour que je fasse mes devoirs, l’apprentissage de tout ce que je connaissais déjà dans une nouvelle identité. Et en ses gens, se gravait doucement des souvenirs nous reliant, mais désormais… Plus rien de restait de Sanctum. Juste l’Inggisson, juste les Abysses, Verteron… Calon, le précepteur…

Ma souffrance intérieur connue également un sort funeste, j’étais normal depuis toujours, personne ne m’avait détesté, personne ne me voulait du mal sauf les Asmodien et ces balaurs.
Mon lien qui avait été rompu a la maison, fut définitivement coupé, plus rien ne m’attachais a l’identité d’avant, et j’eu l’impression de voler parmi les étoiles, mes cheveux flottant dans l’immensité, avant que je ne sente un nouveau souffle chaud, puis les chœurs d’Aion et des âmes de défunts envahirent ma voix, son chant gonflant dans ma poitrine, puis j’ouvris les yeux, voyant mon reflet asmodien dans un miroir. Et lorsque toutes deux, nous caressâmes sa surface, il explosa pour ne laisser que de fine particules qui s’éloignaient de mon fils et moi, puis enfin, je me sentis toucher terre, et me réveilla au milieu d’une pièce bleutée, ou le Général m’attendait.

J’entendis la voix des seigneurs murmurer :

« Avec notre bénédiction. »



J’étais assise, les cheveux blanc relevés et maintenu par une broche, le bébé dans mes bras. La chaise basculait doucement, et mon précepteur semblait écrire une Lettre.

« Dites-moi, Maitre… Qui est le père de Nyelys ? »

« Je ne le sais pas ma fille. Veux-tu bien approcher et signer cela s’il te plait ? »

Je me levais, et prit la plume pour signer en toute confiance le papier, sans même le lire. Un simple petit mot. Et quelques papiers officiels visiblement, mais cela ne m’intéressais pas. Je ne pouvais me détacher du petit visage rose dont les grands yeux dorés me regardaient avec pleins d’amour. Les premiers signes d’un duvet de couleur ether pâle apparaissaient et déjà, le tout le petit se montrait vivace.

Un soldat tapa au carreau pour demander de mes nouvelles, et nous rejoint dans le bureau. L’après-midi était radieux. Le soleil éclatant. Je me sentais paisible. Et le Griffon du Général somnolait sur la terrasse de bois.

Le Maitre confia une lettre a une assassin de renommée, et plusieurs papiers, il donnant l’indication de ne pas se faire remarquer. Puis il vint près du soldat et moi, pour nous parler de plans pour contrecarré les Asmodiens.

La normal de tout daeva…