[Campagne] Sanctum en flammes ?

Sanctum résonne des bruits de pas. Les rues sont envahies par les légions et toute autre forme de vie à quitté la cité. Les bâtisses brûlent et la chute est imminente. Le ciel se pare d'un voile blanc d'ailes, tous les Daevas quittant la cité en flammes, concentrés sur leur véritable objectif.
Et d'un seul et même homme tous les Daevas vont combattre balaurs et asmodiens, pour la survie de leur monde. Elysea se vide pour subsister. Elysea se vide pour assurer sa pérennité éthérée.



Sanctum, à l'aube.
Souriant encore elle ouvre les yeux, se remémorant chaque bride du rêve, chaque image, plus jouissives les unes que les autres...
Elle se relève, rabattant la couverture sur le corps nu de son compagnon d'un soir.
Nulle pudeur devant cet inconnu qui fixait sans sourciller sans corps mis à nu, le teint pâle, l'oeil morne.
Nulle honte de s'habiller en armure devant un individu aux pensées lubriques et malsaines qui ne bougeait pas en la voyant.
Nul regret de l'avoir égorgé au paroxysme de l'action, lui, un fervent défenseur de Sanctum la belle.
Elle sort de l'appartement, prenant soin d'y laisser une allumette enflammée sur le sol, huilé, inflammable, un véritable brasier en devenir.


La fumée s'élève au dessus de Sanctum. Placée loin de là elle l'observe non sans se délecter du chaos momentané. Elle esquisse un sourire, fière de l'incendie provoqué en pleine cité, qui même s'il ne durerait pas, était un coup de semonce réussi. Elle lève le regard vers Lui.
_ Commençons nous notre combat ?
Il lui répond d'un rire froid, bref.
_ Sanctum illuminera le ciel de ses flammes et les cris des pauvres malheureux qui n'auront pas encore fui résonneront tandis que la cité chutera inexorablement.
Elle sourit, bras-droit fidèle, elle s'éxécute.
_ Les raids commencent donc...



Lettre déposée chez les Ars Magna et au palier de toute autre légion "pro-sanctum"

Fuyez Daevas. Le temps de la décadence peu à peu se termine quand vient le temps de la survie élémentaire.
Fuyez Daevas. Bientôt ce nid de luxure brûlera et les flammes lècheront allègrement vos cadavres jonchant les pavés de la cité.
Fuyez Daevas. Allez vous battre pour votre survie.
Fuyez Daevas... Je suis l'Ethérée, et quand mon voile s'abattra, Sanctum tombera.



[HRP] Voili voilou, bonjour à tous déjà.
Ci-dessus, l'introduction d'un évent qui se déroulera à plus ou moins long terme ( long je l'espère ! ).
L'objectif est double : créer un climat roleplay de terreur à Sanctum, d'un autre côté créer un roleplay d'opposition

Quand ?
N'importe quand, le principe de l'évent est d'être imprévisible, des attaques lancées à l'improviste, un repli.

Pour qui ?
Tous ceux qui veulent participer à cet event, que ce soit du côté Sanctum ou du côté "séparatiste" dirons-nous. Je pars du postulat que toute personne présente sur ce forum est suffisamment ouverte pour participer à ce bout d'aventure.
Pour ceux qui ne désirent pas être inclus à l'événement de quelque manière que ce soit je les encourage à m'envoyer un MP.
De même, ceux qui veulent participer du côté séparatiste peuvent me MP que ce soit avec des rerolls, leur main, ou même leur personnage principal joué comme un PNJ dans le cadre de l'évent.

NB : Inutile de se proposer sans grande conviction : il est plus agréable de faire cela avec 5 joueurs motivés que vingt qui trainent la patte
NB bis : Il est à noter que participer implique assumer les conséquences : blessures, trauma, mort ( j'entends par là retour direct à l'obélisque )

Pourquoi ? Parce que nous faisons le mal, et nous le faisons bien !

Merci pour toute réponse NON RP de faire un sujet sur le forum "rp en hrp"

Laynar passa le cordon de garde qui formaient un périmetre de sécurité autour des restes encore fumants, du batiment calciné. Passant la main sur son visage fatigué il contempla un moment la disposition de la rue avant d'être rejoint par un homme dont les favoris encadrait un visage maussade.
"Salut Toolan, murmura Laynar. On a quelque chose ?
- Pas encore, répondit l'apostrophé a mi-voix. Des gardes ont investit le batiment pour voir ce qu'il y avait à trouver à l'interieur. Ca pourrait autant bien être un accident qu'un acte criminel."
Laynar tendit un papier a son ami. Ce message était arrivé dans la nuit sur le bureau des Ars et ne préssageait rien de bon.
"Ce nid de luxure brulera... Tu crois que ca à un rapport avec l'incendie ?
- peut être une conïncidence, rétorqua Laynar."
Au loin, un curieux était sêchement expulsé par deux gardes.
" Foutez moi ca dehors !" Cria le capitaine à leur attention.
Toolan se fendit d'un sourire avant de poursuivre.
"Nid de luxure...j'peux pas trop lui donner tord. Fallait bien qu'ca arrive. En tout cas celui qui à écrit ca est un sacré allumé.Tu crois qu'il s'agit d'Yctayan et de la secte de Sataloca ?"
Laynar secoua la tête en grimaçant.
"Non. Soit Yctayan est vraiment mort, soit il a intérêt à se faire oublier. Et puis il n'est pas bien placé pour condamner la luxure.
- Yshuan ?
- Yshuan...Van...marionettiste. Je crois qu'il est trop embrouillé lui même pour penser à se lancer en croisade.
- Sakura ? Ca pourrait faire penser à son mode d'opération.
- Nous avons un oeil sur Sakura et d'ici que nous la coincions, elle ne peut lever le petit doigts sans qu'on le sache."
Toolan pris un moment le temps de la réflexion.
" Les contrebandiers. Ils auront voulu détruire des preuves sans attirer l'attention et ont monté toute cette affaire.
- Peut être. Ceci dit ils savent qu'on est a leur poursuite et le mulot n'est pas à Sanctum."
Toolan grimaca.
"Alors il ne reste plus qu'une solution. Cet Ethérée est une nouvelle menace de plus pour cette ville"
Laynar se tourna vers son compagnon avant d'acquiescer.
" Il y a des chances. Et celui ci à l'air d'un sacré morceau"
Récupérant le papier, il le plia pour le ranger dans son cube
" Ceci dit nous avons un avantage, lanca Laynar en souriant. Si nous éliminons tous les principaux sujets de luxure de cette ville cela ne nous laisse plus que peu de suspects.
Toolan se laissa aller à rire et Laynar gratifia son camarade d'une bonne tape sur l'épaule.

Mais déjà un soldat approchait, sortant des décombres fumants.
"Capitaine !" Lança t il.
Les deux officiers se tournerent vers lui avant que le soldat n'ajoute :

"Nous avons peut-être quelque chose..."

Alessy regardais la fumée noir jallir d'un batiment, les bras croisée elle soupira.
- hé bhé, un peu de mouvement dans cette ville, sa fait pas de mal. M'enfin encore quelqu'un qui ne sait pas controlé cet élément si foudroyant...
Alessy comtempla la fumée puis decida d'aller voir de plus près.

Un grognement. Un casque bronzé. La fumée au loin. Le parfum du poisson grillé avec une sauce à la méla.
Dans les cuisines de Sanctum, le cuistot du Ciel Blanc observe l'agitation de façon stoïque au possible.

- La générale va nous y mettre, à coup sûr. *soupir*

Vers 8 heures du matin

Aoife:

*Elle se reveilla dans la chambre, juliar était déjà partit s'entrainé, elle jeta sur ses epaule une chemise et ouvrit les rideux pour voir la fumée monter non loin de la*

"Qu'est ce que c'est que ça? Un incendie? Ô Aion!! Pourvue que personne soit blesser! je vais en parler a Juliar a son retour, sa Légion sera quoi faire."

*elle s'habilla rapidement pour informer toloki, en profitant pour faire un détour voir le batiment toucher.*

Violinne (nouvelle a Sanctum)
*Elle s'approche de l'incendie, et observe les Ars enquéter, elle n'avait jamais vu encore un incendie aussi vite déclarer sans une raison particuliere... Elle avait visiter la ville toute la nuit et rien vu venir... Elle regretta un instant de ne rien pouvoir faire... En espérant qu'il n'y est pas eut de victime dans cet endroit, elle remit son chargement de sel sur l'épaule et alla au marché faire sa livraison.*

"J'espère que c'est un incident..."

Un homme du marché noir, habiller en civil récolte des infos ici et la, sans trop comprendre se qu'il se passe, mais qui sait, peut etre que quelqu'un a des infos revendable.

Depuis le dernier étage du Lyceum, elle observait la fumée noire s'élever parmi les immeubles blancs du Sanctum. La paix relative du sanctuaire était à nouveau troublée. Les mains posées sur le rebord de la fenêtre, ses yeux se plissèrent de colère alors qu'un voile blanc venait les couvrir dans un crépitement électrique. Comment pouvait-on en vouloir à ce point contre la Citée Blanche !? Une main se posa lourdement sur son épaule et la jeune daeva sursauta avant de lever les yeux sur Jucléas.

- Des terroristes ? Demanda-t-elle d'une voix vibrante de rage.

- Oui. Répondit-il d'une voix fatiguée.

- Y-a-t-il des victimes ?

- J'ai envoyé plusieurs Clercs sur place afin de soutenir la Garde dans les recherches.

Les deux Grands Prêtres restèrent silencieux, observant encore la fumée se dissiper dans le ciel dégagé. Antihia posa une main sur son front et secoua doucement la tête de droite et de gauche.

- Comme si nous avions besoin de ça ! S'écria la jeune femme, se détournant de la fenêtre.

- Allons, calme toi. Souffla Jucléas avec un léger sourire. Il y a les Ars Magna sur cette affaire, un bon moyen pour tester la véracité de leur Foi ainsi que la pureté de leur Conviction.

Elle soupira encore et glissa quelques mèches de cheveux derrière une oreille. Ses yeux toujours voilés d'un blanc éthérée se posa sur la Tour Brisée puis la Citée et les silhouettes élégantes de ses bâtiments immaculés.

- J'espère que le cauchemar du Chien Noir ne va pas recommencer. Et je souhaite de tout cœur que la Médiation de ce soir permettra aux seules forces que nous possédons... de marcher côte à côte face à la menace commune.

Jucléas acquiesce et serra les mains sur son bâton, fermant les yeux.

- Que les Seraphims nous protègent tous.

Le ciel de Sanctum, encore bleu, encore ensoleillé comme éternellement il le serait, s’étendait à perte de vue. La résidence céleste d’Aion ce jour là cependant, tâchait sa tranquillité de titan d’une colonne de fumée épaisse et sombre. Le vent noir déplaçait des volutes soyeux, intensément obscures, mouvants comme des rangées de danseuses silencieuses, arquant un corps filiforme comme lors d’une cérémonie mystique.
De sous le tissu épais de son chapiteaux de voyageur, Priradus ne pouvait détacher son regard de ces femmes imaginaires, auxquelles il aurait tendu volontairement la main. Alors que l’incendie avait ravagé une bâtisse de Sanctum, accordant à la ville endormis la possibilité d’envahir les rues, le nomade n’avait pas bougé, absorbé par ses propres pensées.

Une augure ? Un peu de noir dans toute cette blancheur céleste allait peut être briser une fausse partialité pour enfin, ne donner que le Gris ? Les fous de Sanctum, les inconscients, les guerriers ou les traîtres réagissaient tous de la même manière devant le sanctuaire souillé, la Belle Immaculée ainsi violée par la folie de quelques uns, ou le génie de quelques autres…

Les rumeurs captées par le peuple faisaient naître le doute d’un acte criminel, Priradus n’y voyait que la sentence inévitable que certains n’avaient jamais osés appliquer, la beauté d’un acte révolutionnaire, le catéchisme d’une religion d’utopie et de carnage. Le nomade ne put que se renfoncer au milieu de ses tapis tissés, au milieu de ses coussins d’arabesques ornées, au milieu de ce décor figé, mortel. L’Œil tourné vers ce ciel troublé, les narines palpitantes sous ce fumée âcre que le vent noir s’appliquait à badigeonner dans chaque coin de cette ville nouvelle, devenue vivante, le daeva se prit à sourire.

« L’homme ne peut pas vivre sans feu, et l’on ne fait pas de feu sans brûler quelque chose… »

Mais ils n’étaient plus des hommes. Seulement des simulacres et aujourd’hui, quelqu’un avait décidé de leurs brûler les ailes avec la lenteur d'un dragon patient.

Ce qu'en pense Yctayan

observant la fumé depuis un point élevé de sanctum, se dit:

quelque soit le responsable de cet acte, il n'est guère à prendre a la légère, peut être pourrais je tenter de redorer mon blason en fouillant un peu

il faudrait que je me rende sur place quand les gardes n'y seront plus, de nuit afin de passer inaperçu.
mes dagues ont soif.

Bientôt tu ne seras plus Sanctum la belle,
Mais restera-t-il quelques rebelles
Qui à leur destin voudront s'arracher ?
Et de leur sang les plaines tâcher ?

Seront-ils assez fou pour oser provoquer,
La menace du voile de l'Ethérée ?
Oseront-ils relever le défi ?
Ou ne montrer que du mépris ?

Feront-ils fi du danger pour se précipiter
Dans l'espérance de l'Ethérée pouvoir rencontrer ?
Ou resteront-ils chez eux cloîtrés
Dans l'attente d'être un jour fauchés ?

Les pleutres de Sanctum oseront-ils me défier ?
Si tel est leur souhait sur les docks ils devront aller
Et tout un chargement brûler.
Ainsi l'Ethérée ils pourront rencontrer

Prendront-ils le risque de rencontrer
L'éthérée au lieu de se terrer ?
Sonnera-t-on le glas des courageux
Ou pleurera-t-on les couards ?

Tout dépendra de votre réponse, et
Des volutes de fumées que vous créérez...


[Nota bene : Je rappelle que participer à l'évent implique d'assumer les éventuelles conséquences, je vous laisse mariner là dessus ]

Le mage s'approchat des ruines froides désormais....

Ishmael lui avait demandé son assistance et il lui faudrait peut etre des réponses autre que par la voie d'enquète classique. la batisse n'était plus que ruine et poutres noircies.
Sous les bottes du sorcier les gravas crissaient ,lentement le thaumaturge se dirigeait vers ce qui avait dut etre le centre du brasier.

Inspirant profondement ,il ferma les yeux et se concentra. Lachant la bride de son pouvoir parfois si difficilement contenu. Le chant vibrant repondit à son appel...les braises se ravivèrent en commencèrent à conter leur histoire...

Cela faisait de nombreuse heures que le commandant était assis seul à son bureau, la seule lumière d'une bougie pour l'accompagner et la lecture du dossier qu'il constituait sans interruption. Une affaire criminelle de plus dans la cité. Il s'en était succédé tant, qu'il en était venu à apprécier ces moments de solitudes.

Il relut d'abord plusieurs fois la déposition de la vielle femme, seul témoins toute la nuit durant des entrées et sorties. Le propriétaire était rentré tard, accompagné de jeunes filles... Seul Aion sait ce qu'ils avaient fait, à l'abris des regards. Toujours est il que toutes étaient ressortit durant la nuit sauf une qui n'était sortit que le matin quelques minutes avant l'incendie. D'elle il n'avait pour l'instant aucune description mais il lui suffirait detrouver les autres filles en se rendant là ou l'homme avait l'habitude de passer ses soirées.

Il nota cela en mémoire.

Puis il y avait le corps. Laynar se souvenait encore parfaitement de sa peau encore carbonisés, étendu sur son lit. Il avait du le manipuler jusqu'à trouver l'entaille en travers de son cou, dissimulée parmi les ravages du feu. Son nom était selon toute vraissemblence Verion Talsardh et si il semblait avéré, aux noMbreux vetements calcinés, qu'il avait passé une "agréable" nuit.

Il fallait chercher la famille de Verion, si il en avait (rien n'était impossible dans cette ville et l'on voyait des daévas peres, enfants, meres, freres et soeur se cotoyer) afin de la prévenir.

Enfin il y avait ces dernières provocation.
Laynar s'enfonça un peu plus dans la chaise pour tenter de comprendre ou Ethérée voulait en venir. Cette forme de défit si elle était tentante contredisait tout ce pourquoi il se voyait aujourd'hui en train de mener ce genre d'affaire. Pour rencontrer Etherée et l'appréhender pour ses crimes, il fallait se livrer à ces même crimes. Il était hors de question qu'il s'adonne à ce chantage ni même que qui que ce soit ne s'y livre. Ce n'était pas à elle de fixer la feuille de route. Il appela un sous officier.

"Faites transmettre les ordres suivants..."




Le ledemain, des escouades de gardes quadrillaient les docks avec l'ordre d'arrêter toute personne ayant la volonté de faire bruler "le moindre petit tas de bois". Sur un des mur des dock derrière un cordon de soldat était inscrit en gros, clairement lisible par tous :

"...ET A PRESENT, SANCTUM BRULE-T-ELLE ? "

Alors la, Aoife ne put s'empecher de regarder l'inscription. Inrattable, bien là, bien visible, cette phrase trônait joyeusement comme une provocation.
Elle regarda un soldat, demandant timidement:

"Pourquoi as t'on ecrit ça?"

Intriguée cette fois, elle ne pouvait s'empecher de vouloir savoir ce qu'il se passait.

Une mamie, du haut de sa fenêtre voit les Ars et descend pour aller leur parler, non sans bougonner et jurer sur la jeunesse qui se dégrade de génération en génération...[/i]
" Ouais mon p'tit gars, moi j'ai tout vu ! J'me tapais ma petite pipe à l'éther du soir là au bord de ma fenêtre en train de caresser ma p'tite kitter là. J'l'ai vu le monsieur, pour une fois qu'il arrivait à allumer. Tu vois mon p'tit gars, le genre à aller faire la fête tout le temps, pas très recommandable si vous voulez mon avis. C'est vrai, les gens qui font la fête ne sont pas stables moralement. Vous savez la jeunesse à mon époque... | 10 minutes plus tard... | Il est rentré l'pauvre vieux là, mais vous savez il buvait, et ça... alala les ravages de l'alcool vous savez | 5 minutes plus tard... |... Enfin ! Il est rentré avec cinq ou six filles chez lui, ils ont fait du bruit pendant au moins une ou deux heures, et croyez moi, ils devaient pas être en train de faire frire un abex ! Vous savez, de mon temps, la jeunesse, elle faisait des choses cochonnes qu'après le mariage, oui oui oui ! | Vingt minutes plus tard... | Enfin, après deux heures y'en a quatre ou cinq qui sont ressorties, y'en a une qu'est restée pour le final... Vous savez monsieur Laynar, le final c'était ma grande spécialité avec mon défunt mari... alalala qu'est ce que c'était comme conclusion... La mamie devient rouge comme une pivoine et tient le silence pendant trois minutes. Enfin ! J'ai de bons restes hein ? En tout cas j'ai pas pu en voir plus mais ce matin alors que j'me faisais une petite pipe à la fenêtre, tranquillement... vous savez monsieurs Laynar, les vertus de la pipe sont très sous-estimées de nos jours | 10 minutes de laïus sur les bienfaits de la pipe plus tard... | Ca a commencé à sentir la fumée, le soleil s'élevait à la même vitesse qu'elle ! C'est tout ce que j'ai vu monsieur Laynar, mais vous savez... si vous avez besoin d'un final vous savez où j'habite ! La mamie sourit de toutes ses dents, soit environ cinq ou six.



La p'tite mamie regarde Signe, qui approche pour lui demander des détails sur les femmes apperçues, accrochant une pipe au bord de ses lèvres fripées et toussotant alors que les volutes de fumée l'entourent et la possèdent
"Vous savez, il était pas très beau m'sieur Verion, mais y savait s'mettre en valeur, à notre époque on savait se mettre en valeur. Voyez votre tenue, elle ne met pas du tout votre plastique en valeur, c'est effroyable. Une petite poitrine bien mise en valeur vaut mieux qu'une énorme laissée à l'abandon, oui ! C'est le précepte qui a guidé ma vie... |après cinq minutes d'élucubrations...| Ah oui, monsieur Verion ! Il était pas très beau. Non non non ! Par contre les filles avec lui... plus que gâtées par Aion ! Et il y en avait pour tous les goûts, ça oui... Des brunes, des rousses, des blondes... Elles virevoltaient autour de lui c'était du joli... par contre le boucan après hein ! Elles arrêtaient pas d'bouger, j'ai pas pu voir grand-chose ma petite... Et celle qu'est ressortie après était couverte de la tête aux pieds, j'saurais même pas dire quelle couleur de cheveux elle avait..."
La mamie secoue la tête d'un air désolé "Vous savez... la jeunesse n'ose plus se montrer de nos jours... | Aion seul sait quand celle-ci arrêtera ses élucubrations |


La secrétaire lève les yeux vers l'Ars Magna puis replonge le nez dans sa paperasse, en sort un dossier après cinq minutes de recherche. Elle remet ses lunettes en place d'un doigt et plisse les yeux.
"Verion Talsardh... Célibataire, sans histoires, la trentaine... rien de très intéressant mmmh... Responsable de la réfection des égouts de Sanctum... passionnant mmmh... Assainissement des eaux usées... bon... *elle prend le dossier du bout des doigts et le repose sur le bureau face à Signe* Sa vie semble identique à son travail..."
Elle se replonge dans la paperasse, comme possédée par le démon du travail sans piper un mot.



Roger le tavernier, à Laynar lors de son enquête, un des rares taverniers de Sanctum à encore s'opposer au commerce sauvage de la taverne du banquet :
"Ouais, j'les ai vues moi les p'tites. Ralala elles étaient bonnes hein, dis donc... y'avait du monde au balcon mon vieux ! Deux rousses, deux brunes, deux blondes, un bon palmarès hein ! L'Verion il accrochait pas souvent mais là il a fait fort dis donc ! Après, c'était des bimbos de base hein, on en voit partout mais voilà, même des physiques communs peuvent titiller l'instinct hein ! Comment il va au fait ? Il me doit une ardoise longue comme le bras là...



Les docks. Les gardes patrouillent sous les ordres des Ars Magna. Une odeur pestilentielle s'installe près des caisses gardées dans un coin reculé des docks désertés de toute activité...
" Hey, Maurice.. T'as encore bouffé des ininas pas fraîches ?
_Nan, j'ai même pas bouffé hier, t'aurais vu la dame, pire qu'une dragonne putain !... Qu'est ce qui pue comme ça ...?"
Les deux gardes approchent des caisses. Une caisse assez grande voit ses alentours être peuplés par diverses insectes, accompagné d'une odeur de putréfaction toujours plus forte. Ayant appelé des renforts ils ouvrent la caisse et en découvrirent son morbide contenu.
A l'intérieur, le bois est tapissé de sang. Au fur et à mesure que le regard remonte, on peut de prime apercevoir des mèches de cheveux mélangées, des mèches brunes, des mèches blondes, des mèches rousses... Les gardes ne purent retenir leurs estomacs, et surtout... leur contenu devant ce spectacle.
En face, six cadavres de femmes, lacérés. Presque aucun parcelle de peau n'a échappé aux coups de couteau. Peut-on encore appeler cela des êtes humains ? Les six femmes ne sont plus que lambeaux de chair dépouillés de leur chevelure, éparpillés autour des corps...
Et au fond de la caisse, un simple papier, maintenu par une dague fermement plantée

" Sanctum brûle déjà, au sein du coeur des Daevas"

Signe s'approche de la caisse ou les six cadavres était enfermée... Elle essaie de voir pour faire un portrait de ses femmes même si cela à l'air d'être pas simple...Elle recherche des traces d'Ether sur la caisse et les corps ainsi qu'autour. Signe regarde tout cela avec un regard des plus froids... La daeva décroche le papier et garde la dague pour voir se qu'elle peu y trouver.

Signe fait ensuite un geste aux gardes d'amené tout ceci loin du regard des passants et de continuer à surveiller. Elle fera analyser le contenu de la caisse par un spécialiste en espérant avoir des résultats rapide comme l'heure de la mort ou la cause... les coups de couteau ne sont peu être que simple acte pour ne pas les identifiées.

"Rien de rien ?"*regarde l'homme qui lui annonce les nouvelles et puis soupire*

"Elles sont donc bien morte à cause des coups de couteaux..." *regarde l'homme* "Merci."

*regarde la dague, une dague quelconque et soupire de nouveau*

*Pense tout haut * "Ces femmes était surement celle avec Verion Talsardh dans la nuit de l'incendie... Elles ont du voir quelque chose pour en arrivée là."

La daeva ce dirige vers l'administration de Sanctum pour voir si 6 femmes n'aurai pas disparue les derniers jours...

Krygueil eut vent des dernieres nouvelles. Un article interressant, c'est sur! Il se lance sur ses traces comme un rodeur, lui et son équipe sont bien determiner à la trouver, et avoir son point de vu!

C'était très mal partit, malgré l'investigation personnel du rodeur près du batiment il pietinait... En plus d'être aller trainer a théobomos a cause de Laynar, lui et Nal étaient revenu bredouilles.

- "Bon sang! Mais qui est elle?" Hurla t'il a ses collègues. "Je veux son visage! Je veux la une!"

Il y était retourner avec un deuxième expert mage, une petite nenette nommée Aoife qui envoya faire un tour a son esprit de terre, puis de feu pour lire dans les cendres et les murs, capter des souvenirs dans l'Aether. Il attendait des résultats, il voulait savoir! Quitte même a engager ce farfelu d'Orinarisse ou même le Fameux Kyos! Ou alors, même le zygoto de Nariu! Mais il voulait sa première page! et il l'aurait!

Elle se demandait pourquoi l'avait on dérangée alors qu'elle chassait en inggison. Un Shugo l'agressant soudain pour lui remettre une lettre. Sapristie! La sale bête avait fait fuir son gibier!
Elle s'était emparé du shugo par le col pour lui crier après quand il secoua la lettre devant son nez. Après quelques secondes de lecture, elle soupira:

- Qui c'est encore celui la?

De retour en ville, on lui explica rapidement que rien n'avait été donner comme nouvelle sur la dite Etherée. Pire encore, les Ars n'étaient pas uen police, et enfin, que le Ciel Blanc était presque disparut mit a par son époux.

- Personne ne fait l'autorité? Cette ville est vouer a elle même?

On lui avait répondu qu'il ne restait que la garde... La garde? la bonne blague! Elle avait écouter les beugleument du dénommé Krygueil, ecouter ses gérémiades jusqu'a se qu'il s'abatte sur le bureau pour se redresser vivement, l'index pointer sur elle:

- Vous allez m'aider!

Elle eut un sursaut avant de demander:

- Hein? moi? Jamais de la vie, je bosse, j'ai un époux, j'aide pas les journalistes a sensations.

Il négocia pendant plusieurs heures interminables jusqu'a se qu'il parle de la paie possible... 200 000 Kinaths!? ça se refuse pas...

- Ok...


Depuis, elle avait remis son monocle, et inspecter l'Aether de la batisse en flamme, mais impossible d'acceder aux cadavres, elle avait du donc invoquer ses esprits pour en plus de determiner l'Aether, prendre se qu'il restait des souvenirs de la terre, des murs... les cendres.. quelqu'un d'au s'en était charger? qui? l'esprit montra Maeldron... Elle soupira:

- Ce journaliste devrait aller le voir lui...

Les esprits parlaient, leurs voies résonnaient dans sa tete, elle leva une main sur eux et caressa leurs nature, les pensées lier aux leurs... Allait elle vraiment livrer des informations a ce prétencieux?

Un vent de panique souffle dans les ruelles de Sanctum, où catins, cul-de-jattes et autres bougres se barricadent en quête d'un refuge... et le vent souffle, emportant avec lui les mots multiples avec la même écriture morbide, annonciatrice de malheur...

"Allez Daevas... répondez à mon appel
Rebellez-vous contre vos maîtres les Séraphims
Allez Daevas, envahissez la belle
Rebellez vous contre eux, dans l'espoir infime
Que la mort ne vous fauche pas demain...

Demain sera l'alpha Daevas...
Veillez à ce que le voile ne soit pas votre Omega..."

" Demande-toi ma belle Sanctum, d'où ta mort viendra-t-elle ? "




( Demain soir, 21h... le premier event IG de l'Ethérée, pour vous, Daevas ! /w Elyyrae IG à 21h )